Après la soirée d’hier, nous voyons Athènes sous un autre jour – même si celui-ci commence par de grosses averses – quasiment 3 semaines selon le gérant de l’hôtel qu’il n’avait pas plu une goutte…
Après une pause à la boulangerie pour dévorer des gâteaux secs grecs et quelques gourmandises au miel, nous filons au musée de l’Acropole.
Récemment rénové, l’acropolis museum , tout de béton et de verre, abrite tous les objets recueillis lors des fouilles de l’acropole.
Nous n’attendons que quelques minutes avant d’accéder au guichet où l’hôtesse nous prenant pour des étudiants, ne nous fait pas payer l’entrée…
Avant de pénétrer dans la première galerie, nous jetons un coup d’œil dehors et apercevons une queue d’au moins 30 minutes – nous avons vraiment de la chance ce matin.
Le musée est divisé en cinq thèmes bien distincts dont les trois principaux et les plus intéressants sont:
- Les pentes de l’acropole, majoritairement des objets de la vie quotidienne et de magnifiques amphores. De plus, le musée est sur pilotis et le sol en verre, ce qui permet de voir les ruines situées en dessous.
- L’acropole archaïque avec un très grand nombre de sculptures de la Grèce antique et surtout de Koraï (une kore est une statue de jeune fille). Tout simplement magnifique notamment les quatre caryatides, toutes différentes et sculptées avec une grande précision.
- Le Parthénon, le dernier étage est rectangulaire pour rappeler le temple et ainsi mieux voir à quoi il ressemblait avec ses frises.
Bref un incontournable de la rubrique que faire à Athènes !
En sortant, le soleil est de retour et nous en profitons pour nous promener dans Plaka, quartier touristique par excellence avec ses rues pavées, ses restaurants soi-disant traditionnels et ses échoppes de souvenirs. Nous rejoignons la jolie place de Monastiraki avec en son centre l’église de la Pantanassa et faisons un petit tour rapide au marché aux puces…
Nous en profitons pour faire une petite pause repas à base de gyros, le vrai sandwich grec et non pas un vulgaire kebab avec pain pita légèrement grillé et tzatziki en guise de sauce, le tout servi roulé dans une serviette – un vrai délice ! Et pour le dessert, nous croisons un petit stand ambulant vendant des produits à base de noix de coco, c’est donc parti pour une barre chocolat coco miam.
Nous partons ensuite vers Kerameikos, le quartier des potiers pour admirer le musée/cimetière des céramiques. Nous faisons un petit détour également dans le quartier de Gazi, un ancien complexe de distribution de gaz / ancien quartier malfamé, transformé en quartier bobo branché. Pas grand-chose à y voir, de jour en tout cas…
Métro direction Evangelismos pour visiter la Pinacothèque nationale dans le quartier huppé de Kolonaki. Malheureusement, à notre arrivée, elle est déjà fermée. Et oui, les musées ferment tôt : 15h.
En nous baladant, nous nous retrouvons face au musée de la guerre, également fermé – sauf que de nombreuses pièces de l’armée sont accessibles en extérieur dont des hélicoptères, des avions de combat, des tourelles, des mitrailleuses et autres armes de guerre sur lesquelles on peut même s’installer…
A deux pas de là, nous visitons le musée byzantin et chrétien situé dans la villa de la duchesse de Plaisance. Il regroupe de nombreuses pièces de l’art grec datant de l’Antiquité tardive – dont le thème est essentiellement religieux : icônes, fresques, manuscrits, mosaïques…
A voir si vous aimez l’art religieux ! Ce n’est pas vraiment notre tasse de thé mais la muséographie et la beauté des collections valent le coup d’œil.
Avant de retourner à la chambre faire une pause, l’Homme m’emmène dans une pâtisserie, près de la place Syntagma, Chatzis (aussi écrit Hatzi’s). Un décor de princesse pour déguster d’innombrables gâteaux grecs aussi alléchants les uns que les autres. Les prix correspondent à l’esprit chic de la boutique – cela ne nous empêche pas de craquer pour un kataifi et on ne le regrette pas ! Le dessert est fin, pas trop gras, le prix (5 euros l’unité) vaut sa qualité.
Après une pause à l’hôtel, nous ressortons destination le mont Philopappou. Cette colline abrite le monument de Filopapos mais surtout est situé juste en face de l’Acropole – presque à la même hauteur. Y aller le soir permet d’avoir un merveilleux panorama sur Athènes et sur l’Acropole.
Seulement, « la colline des muses » n’est pas très bien éclairée et il est difficile sans lumière de trouver le passage qui mène en haut (idem pour redescendre), sans compter que c’est l’endroit où se réunisse tout les couples en mal de chambre…
Une fois redescendu, nous marchons vers le quartier de Thissio, un des plus anciens de la ville.
Deux rues attirent notre attention : elles brillent de mille néons !
La concurrence est sévère entre les bars branchés qui tentent par tous les moyens d’être plus lounge que leur voisin.
Nous nous faufilons entre les tables à la recherche d’un sofa de libre pour boire un café frappé comme ¾ des clients. Eh oui, peu d’athéniens prennent de l’alcool, tout le monde tourne au café frappé !
En milieu de soirée, nous décidons de retourner à Gazi… Le choc ! Le Gazi diurne n’a rien a voir avec le Gazi nocturne ! Tous les bars/snacks/restos sont ouverts et rivalisent d’ingéniosité. Chacun possède sa propre ambiance et une décoration originale – les espagnols et les portugais peuvent aller se rhabiller !
Nous allons manger dans un petit resto où tout est préparé à la commande.
Nous optons pour une assiette de tzatziki, un gyros, des souvlaki (brochettes de viande, généralement bœuf ou poulet) et des tartines feta/tomates. Un repas, certes pas très équilibré, mais très bon – le tout pour moins de 10 euros.
La sortie du métro est envahie par un flot continu de jeunes grecs qui ne cessent d’arriver. Les métros sont pleins à craquer et se déchargent ici ! Au moins, nous rentrerons tranquillement à la chambre dans une rame de métro quasiment vide…
Après une pause à la boulangerie pour dévorer des gâteaux secs grecs et quelques gourmandises au miel, nous filons au musée de l’Acropole.
Récemment rénové, l’acropolis museum , tout de béton et de verre, abrite tous les objets recueillis lors des fouilles de l’acropole.
Nous n’attendons que quelques minutes avant d’accéder au guichet où l’hôtesse nous prenant pour des étudiants, ne nous fait pas payer l’entrée…
Avant de pénétrer dans la première galerie, nous jetons un coup d’œil dehors et apercevons une queue d’au moins 30 minutes – nous avons vraiment de la chance ce matin.
Les photos intérieures n’étaient pas autorisées – désolée !
Le musée est divisé en cinq thèmes bien distincts dont les trois principaux et les plus intéressants sont:
- Les pentes de l’acropole, majoritairement des objets de la vie quotidienne et de magnifiques amphores. De plus, le musée est sur pilotis et le sol en verre, ce qui permet de voir les ruines situées en dessous.
- L’acropole archaïque avec un très grand nombre de sculptures de la Grèce antique et surtout de Koraï (une kore est une statue de jeune fille). Tout simplement magnifique notamment les quatre caryatides, toutes différentes et sculptées avec une grande précision.
- Le Parthénon, le dernier étage est rectangulaire pour rappeler le temple et ainsi mieux voir à quoi il ressemblait avec ses frises.
Bref un incontournable de la rubrique que faire à Athènes !
En sortant, le soleil est de retour et nous en profitons pour nous promener dans Plaka, quartier touristique par excellence avec ses rues pavées, ses restaurants soi-disant traditionnels et ses échoppes de souvenirs. Nous rejoignons la jolie place de Monastiraki avec en son centre l’église de la Pantanassa et faisons un petit tour rapide au marché aux puces…
Nous en profitons pour faire une petite pause repas à base de gyros, le vrai sandwich grec et non pas un vulgaire kebab avec pain pita légèrement grillé et tzatziki en guise de sauce, le tout servi roulé dans une serviette – un vrai délice ! Et pour le dessert, nous croisons un petit stand ambulant vendant des produits à base de noix de coco, c’est donc parti pour une barre chocolat coco miam.
Nous partons ensuite vers Kerameikos, le quartier des potiers pour admirer le musée/cimetière des céramiques. Nous faisons un petit détour également dans le quartier de Gazi, un ancien complexe de distribution de gaz / ancien quartier malfamé, transformé en quartier bobo branché. Pas grand-chose à y voir, de jour en tout cas…
Métro direction Evangelismos pour visiter la Pinacothèque nationale dans le quartier huppé de Kolonaki. Malheureusement, à notre arrivée, elle est déjà fermée. Et oui, les musées ferment tôt : 15h.
En nous baladant, nous nous retrouvons face au musée de la guerre, également fermé – sauf que de nombreuses pièces de l’armée sont accessibles en extérieur dont des hélicoptères, des avions de combat, des tourelles, des mitrailleuses et autres armes de guerre sur lesquelles on peut même s’installer…
A deux pas de là, nous visitons le musée byzantin et chrétien situé dans la villa de la duchesse de Plaisance. Il regroupe de nombreuses pièces de l’art grec datant de l’Antiquité tardive – dont le thème est essentiellement religieux : icônes, fresques, manuscrits, mosaïques…
A voir si vous aimez l’art religieux ! Ce n’est pas vraiment notre tasse de thé mais la muséographie et la beauté des collections valent le coup d’œil.
Avant de retourner à la chambre faire une pause, l’Homme m’emmène dans une pâtisserie, près de la place Syntagma, Chatzis (aussi écrit Hatzi’s). Un décor de princesse pour déguster d’innombrables gâteaux grecs aussi alléchants les uns que les autres. Les prix correspondent à l’esprit chic de la boutique – cela ne nous empêche pas de craquer pour un kataifi et on ne le regrette pas ! Le dessert est fin, pas trop gras, le prix (5 euros l’unité) vaut sa qualité.
Après une pause à l’hôtel, nous ressortons destination le mont Philopappou. Cette colline abrite le monument de Filopapos mais surtout est situé juste en face de l’Acropole – presque à la même hauteur. Y aller le soir permet d’avoir un merveilleux panorama sur Athènes et sur l’Acropole.
Seulement, « la colline des muses » n’est pas très bien éclairée et il est difficile sans lumière de trouver le passage qui mène en haut (idem pour redescendre), sans compter que c’est l’endroit où se réunisse tout les couples en mal de chambre…
Une fois redescendu, nous marchons vers le quartier de Thissio, un des plus anciens de la ville.
Deux rues attirent notre attention : elles brillent de mille néons !
La concurrence est sévère entre les bars branchés qui tentent par tous les moyens d’être plus lounge que leur voisin.
Nous nous faufilons entre les tables à la recherche d’un sofa de libre pour boire un café frappé comme ¾ des clients. Eh oui, peu d’athéniens prennent de l’alcool, tout le monde tourne au café frappé !
En milieu de soirée, nous décidons de retourner à Gazi… Le choc ! Le Gazi diurne n’a rien a voir avec le Gazi nocturne ! Tous les bars/snacks/restos sont ouverts et rivalisent d’ingéniosité. Chacun possède sa propre ambiance et une décoration originale – les espagnols et les portugais peuvent aller se rhabiller !
Nous allons manger dans un petit resto où tout est préparé à la commande.
Nous optons pour une assiette de tzatziki, un gyros, des souvlaki (brochettes de viande, généralement bœuf ou poulet) et des tartines feta/tomates. Un repas, certes pas très équilibré, mais très bon – le tout pour moins de 10 euros.
La sortie du métro est envahie par un flot continu de jeunes grecs qui ne cessent d’arriver. Les métros sont pleins à craquer et se déchargent ici ! Au moins, nous rentrerons tranquillement à la chambre dans une rame de métro quasiment vide…
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