Aujourd’hui, j’ai eu l’occasion de regarder le premier épisode d’une série que j’attendais impatiemment : The United States of Tara.
Sur le papier, la série paraît parfaite, jugez par vous-mêmes :
- Producteur : Steven Spielberg
- Scénariste : Brook Busey-Hunt alias Diablo Cody à qui l’on doit Juno
- Actrice principale : Toni Colette, la maman de Little Miss Sunshine (mais aussi Muriel la fan d’Abba)
L’histoire est d’autant plus originale qu’elle traite du sujet difficile des troubles de la personnalité d’une mère de famille qui se transforme en divers alter-égos selon ses émotions.
Après visionnage, cette série est vraiment déjantée (pas étonnant qu’elle passe sur Showtime) et trouble car nous sommes face à un dramedy (comprendre une comédie dramatique) dont le ton est si léger qu’on ne sait pas réellement s’il faut rire ou prendre au sérieux les différents états de Tara.
Dans ce premier épisode, ses alters-égos sont d’ailleurs très caricaturaux : « T. » l’adolescente aguicheuse et délurée et « Buck » vraisemblablement un vétéran macho du Vietnam accro aux bières et aux tirs. Son mari et ses deux ados sont d’ailleurs très compréhensifs…au passage je suis sûre à 100% que le fils est gay, minorité visible incontournable dans les séries ces temps-ci…
En tout cas cette série a vraiment beaucoup de potentiel et je suis pressée de voir la suite, cependant je ne sais pas si elle tiendra sur la durée !
Sur le papier, la série paraît parfaite, jugez par vous-mêmes :
- Producteur : Steven Spielberg
- Scénariste : Brook Busey-Hunt alias Diablo Cody à qui l’on doit Juno
- Actrice principale : Toni Colette, la maman de Little Miss Sunshine (mais aussi Muriel la fan d’Abba)
L’histoire est d’autant plus originale qu’elle traite du sujet difficile des troubles de la personnalité d’une mère de famille qui se transforme en divers alter-égos selon ses émotions.
Après visionnage, cette série est vraiment déjantée (pas étonnant qu’elle passe sur Showtime) et trouble car nous sommes face à un dramedy (comprendre une comédie dramatique) dont le ton est si léger qu’on ne sait pas réellement s’il faut rire ou prendre au sérieux les différents états de Tara.
Dans ce premier épisode, ses alters-égos sont d’ailleurs très caricaturaux : « T. » l’adolescente aguicheuse et délurée et « Buck » vraisemblablement un vétéran macho du Vietnam accro aux bières et aux tirs. Son mari et ses deux ados sont d’ailleurs très compréhensifs…au passage je suis sûre à 100% que le fils est gay, minorité visible incontournable dans les séries ces temps-ci…
En tout cas cette série a vraiment beaucoup de potentiel et je suis pressée de voir la suite, cependant je ne sais pas si elle tiendra sur la durée !
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