L'incroyable rue Dénoyez : un spot street art à Belleville

C’est grâce à une folle envie de manger chinois que nous sommes tombés totalement par hasard sur la rue Dénoyez.



A quelques mètre du monotone boulevard de la Villette, cette rue égaye de suite le paysage avec ses explosions de couleur – difficile donc de ne pas la remarquer.
Véritable atelier en plein air, la rue regroupe des œuvres issues d’un melting-pot d’artistes.





Cette rue mérite le détour – d’autant plus qu’elle doit, à mon avis, souvent changer d’apparence.
D’ailleurs, cela ne semble pas déranger les habitants de cette rue outre mesure puisqu’ils ont également participé à sa « décoration ».
Pour apporter une touche de verdure, les riverains de la rue Denoyez ont crée des pots de fleurs en mosaïques avec de la céramique, des miroirs, des émaux, des coquillages et autres objets.



Aux pots déjà « customisés » sont venus s’ajouter d’autres pots ornés de tags et pochoirs…



Même les ateliers et commerces de la rue (La maison de la plage, galerie Frichez-nous la paix…) ont joué le jeu en adoptant des façades pour le moins colorées et originales.



Ici et là, pochoirs et tags prennent possession de ce terrain de jeu urbain, avec des figures célèbres (Dali, Clint Eastwood, Marilyn Monroe) ou de simples quidams…





Et le must pour la fin, la rue Dénoyez recèle de trésors cachés sur ses gouttières ou dans ses murs. Souvenirs d’âge tendre, jouets abandonnés, insectes et poupées – s’incrustent dans les moindres recoins, fissures et trous comme un enfant qui aurait dissimulé ses trésors dans une cachette…

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Le Moulin Rouge se met au vert pour la Saint Patrick !

A l'occasion de la Saint Patrick, l'Office de tourisme d'Irlande a vu les choses en grand en illuminant des lieux connus à travers le monde en vert.

A Paris, le Moulin Rouge a donc, le temps de deux soirées (16 et 17 mars), troqué son éclairage rouge pour se mettre à l'heure irlandaise, tout en vert !
Etant donné que nous étions dans le coin (pour le concert de Mogwai), voici le résultat :

A travers le monde, les autres monuments illuminés en vert pour fêter le saint patron des Irlandais sont :
- L’Empire State Building à New York
- Les fontaines de la Maison Blanche à Washington
- Le Burj Al Arab à Dubaï
- Le London Eye à Londres
- La Puerta Alcalá à Madrid
- La Sky Tower à Auckland
etc…

Alors, quelle couleur préférez-vous : rouge ou vert ?

Sur ce bonne St Patrick !

Site officiel de l Office du Tourisme d'Irlande

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Cinéaqua, aquarium de Paris : j'y vais ou pas ?

A deux pas du musée national de la Marine, dans les jardins du Trocadéro face à la tour Eiffel, se cache le Cinéaqua – Aquarium de Paris.
Cet établissement dédié à la découverte du monde sous-marin ne cesse depuis quelques temps de faire de la pub dans le métro alors forcément quand nous avons eu des invitations, nous nous sommes empressés d’aller le découvrir…

Le Cineaqua en quelques chiffres c’est :
- un parcours de 3500 m2
- 43 bassins
- + de 10 000 poissons et invertébrés
- 25 requins
- et leur atout, deux salles de cinéma.

A la sortie de la station Trocadéro, le chemin est fléché – heureusement car il n’est pas forcément facile d’accès sans indication…
Sympa, l’entrée donne en plein sur la dame de fer, une jolie vue avant de pénétrer dans l’antre de l’aquarium.
Première impression : le lieu paraît « dépouillé », un peu vide… Les premiers aquariums présentés sont ceux des poissons vivant dans la Seine.

Nous pénétrons alors dans l’enceinte même de l’aquarium en suivant le plan.
Les premiers bassins sont assez communs mais ont le mérité d’être bien agencés, sans compter les petites plaquettes interactives, traduites en plusieurs langues, qui apportent un bon nombre d’informations sur les différents milieux marins et les poissons qui y vivent.

Au fur et à mesure du parcours, les bassins sont moins entretenues et les plaquettes interactives ont laissé la place à de simples fiches papiers. Le prix revient à l’espace Caraïbes qui n’a qu’un seul et unique aquarium avec à peine 10 poissons à l’intérieur. Le reste de l’espace étant comblé par des statues bon marché de pirates (genre Pirate des Caraïbes).

Les salles de cinéma sont plutôt décevantes pour la simple et bonne raison qu’elles ne sont pas fermées. On entend donc tout les bruits et toutes les discussions des autres visiteurs, les enfants qui crient et courent, difficile de se concentrer sur ce que l’on regarde. Dommage car la programmation cinématographique et documentaire est vraiment intéressante et colle parfaitement avec la thématique du lieu.

Pour l’instant le bilan est mitigé… Heureusement, nous terminons notre visite par :
- le bassin caresse : petit bassin pour les petits et les grands où l’on peut toucher des carpes koï.
- le bassin des requins, de confortables sièges pour admirer les requins évoluer dans leur élément.

Au final, nous étions quand même assez déçu…
Les installations sont loin d’être vétustes mais pourtant l’ensemble paraît assez terne, peut-être à cause de l’agencement. La plupart des espèces présentées sont plutôt communes, rien d’extraordinaire. Même les requins n’ont rien d’exceptionnel vu qu’ils sont tous assez petits…

Une sortie à réserver pour les familles (qui peuvent se le permettre vu que les billets d’entrées affichent des prix élevés à partir de 12,50 euros pour les enfants et 19,50 pour les adultes), d’autant plus que plusieurs animations sont prévues pour les petits comme par exemple le théâtre de marionnettes…

Plus d’infos :
Cineaqua – Aquarium de Paris
Jardins du Trocadéro
2 avenue des Nations Unies, 75016 Paris
Site Internet : http://www.cineaqua.com
Tarifs : de 12,50 à 19,50 euros

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Street art : Le Cyklop rhabille la rue Keller

Cela fait bien longtemps que je n’avais pas été me promener à Bastille près de la rue Keller… Pour preuve, je viens seulement de découvrir les potelets (poteaux anti-stationnement) peints par le CyKlop à l’occasion du festival « Bastille Quartier Libre – Festival des indépendants » organisé par la galerie Keller en octobre 2010.

Heureusement, la météo ne les a pas dégradés et ils ont gardé toutes leurs couleurs !
Le CyKlop a commencé à envahir et à rhabiller nos trottoirs en 2007 par le biais de la customisation de poteaux.
Le principe est simple : transformer la « boule » des potelets en œil.
Le résultat : un œil cyclope, on ne peut plus original et agréable à regarder, non ?

J'ai personnellement un coup de cœur pour ces yeux omniscients multicolores.
Une initiative street art pleine de fraicheur et de couleurs...
Je vous laisse découvrir les autres oeuvres Le Cyklop sur son blog avec notamment les poteaux Lego et bientôt ceux en tête de Playmobil...

Lors de cette manifestation, le Cyklop en a également profité pour décorer le passage Bullourde avec des yeux en papier collés sur les murs.
N’hésitez pas à faire un tour dans ces deux rues pour découvrir d’autres artistes dont notamment VLP (vive la peinture) et leur personnage, Zuman.

Pour en savoir plus :
Le blog officiel – Le Cyklop

Une interview de l'artiste sur le blog de Vitostreet : http://vitostreet.ekosystem.org/2010/10/le-cyklop-interview/

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Le Point Éphémère

Me voilà rentrée après 11 jours de vacances pour le moins reposantes et dépaysantes…
Un retour sous le signe de la grisaille après nos précieux 33°C d’Athènes…
N’ayant pas encore fini de trier toutes nos photos, je vous emmène faire un petit tour du côté des docks de l’est parisien à la découverte du Point Éphémère.



Petite histoire...
Partagé avec la caserne de pompiers de Château-Landon, le bâtiment abritant le Point Éphémère était à l'origine un magasin Point P (matériaux de construction).
En 2004, le collectif Usine Éphémères investit le lieu et le transforme en centre de dynamiques artistiques.



Les 1400m2 du lieu sont exploités à leur maximum : une salle de concert, un espace d’exposition, un bar-restaurant, quatre ateliers d’artistes, un studio de danse, cinq studios de répétition musique et un atelier de fabrication !

Que ce soit pour une expo, un concert, un brunch sur les bords du Canal St Martin ou un spectacle de danse, tout le monde a une raison de venir traîner là-bas.

La dernière fois que nous sommes allés au Point F, on pouvait y voir l'exposition "On coupe le son!" dédiée aux dessins de concerts réalisés par trois auteurs de BD et/ou de dessins de presse : Nine Antico, Luz et Erwann Terrier.
L'envers des concerts à base d'anecdotes, de croquis et de caricatures - original et franchement sympa!



Même si le lieu a perdu avec le temps son image alternative pour une boboïsation, nul doute que toutes les formes d'art y sont bien accueillies... et puis pour le plaisir des yeux, il y a toujours les œuvres de street art qui l'entoure :







En savoir plus:
Le Point Éphémère
200 Quai de Valmy, 75010 Paris
Site officiel du Point Ephémère
Programmation du mois d'octobre 2010

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Marché aux fleurs et aux oiseaux sur l'île de la Cité

Depuis que nous habitons à Paris, il y a une chose que je ne rate quasiment jamais le samedi matin : faire un tour au marché !
Mais outre les traditionnels marchés alimentaires, puces, marchés aux livres, aux timbres...saviez-vous qu'il en existe un aux fleurs qui se transforme le dimanche venu en marché aux oiseaux ?

On y trouve toutes sortes de pioupiou volatiles : gallinacés, canaris, inséparables (mes préférés) colibris, perruches, colombes… et même des pigeons !
Malheureusement, les petits éleveurs ont disparus au profit de vendeurs professionnels mais le plaisir des yeux et l'émerveillement devant certaines espèces exotiques et/ou méconnues restent.
Le seul problème vient du fait qu'une minorité de vendeurs n'ont aucune honte à entasser des oiseaux dans des cages à peine plus grande qu'eux...

Outre les animaux, on y trouve aussi tous les accessoires nécessaires dont des cages (qui peuvent à défaut être de jolis accessoires déco, non ?), des perchoirs mais aussi des grainetiers qui se feront une joie de vous préparer sur mesure des mélanges alimentaires pour votre titi.

Le marché aux oiseaux n'est néanmoins qu'une extension dominicale au marché aux fleurs qui lui se tient tout le reste de la semaine.
Ici, rien à voir avec les petits stands de fleuristes, les plus gros vendeurs possèdent leurs échoppes dans des pavillons métalliques dont notamment "Les jardins d'Edgar" et "Les jardins de Lutèce" où règnent de douces senteurs.
Bien sûr, il s'agit encore d'un semblant de nature dans Paris mais il faut tout de même reconnaître que c'est agréable !

D'autres étals proposent également des rongeurs, des poissons et tous leurs accessoires (aquariums, fond de cages, nourriture) mais aussi des décorations de jardin.

Au moins maintenant, vous pourrez aller sur l'île de la Cité pour autre chose que Notre-Dame de Paris !

Plus d'infos :
Marché aux oiseaux
Place Louis Lépine
75004 Paris
Dimanche de 8h à 19h
Métro : Cité

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Promenade bucolique au Parc des Buttes-Chaumont

Après le bassin de la Villette, voici un autre endroit de Paris 19ème que j'adore même si je ne l'ai découvert que très récemment : le parc des Buttes-Chaumont.

Un écrin de verdure de quasiment 25 hectares, qui le place dans le trio de tête des plus grands jardins de Paris. C'est un lieu pour tous : familles (avec de nombreux coins "jeux",des balançoires, un théâtre de guignol...), sportifs (compte tenu du relief escarpé du parc), couples et amoureux pour une balade dans un jardin romantique de style haussmannien/anglais.
Eh oui, les Buttes Chaumont sont elles aussi l'œuvre du baron Haussmann qui transforma ce "mont-chauve" argileux et sans végétation en un charmant et luxuriant jardin.

Outre le lac, les ruisseaux, les cascades et les ponts, les Buttes ont été aménagées de telle façon que la promenade soit la plus agréable possible, on peut donc y trouver d'anciens pavillons désormais transformés en bar/restaurant.

Le plus connu est le Rosa Bonheur (2, allée de la Cascade).

Sa décoration originale, sa carte de tapas, son bar,son ambiance guingette/bobo et sa situation idéale en font un bar très prisé. Bref l'endroit idéal pour se montrer !

Si vous êtes plus tenté par la gastronomie italienne, vous pouvez aller manger au Pavillon Puebla (avenue Darcel), mais rien ne vaut un bon pique-nique !

L'élément le plus connu des Buttes Chaumont est le temple de la Sybille de Davioud (réplique d'un temple de Tivoli) perché tout en haut d'une falaise/île rocheuse de 30 mètres de haut surplombant le lac. On peut y accéder par deux ponts dont l'un est suspendu à 65 mètres.

La vue sur Montmartre par temps clair y est splendide, non ?

Et pour les botanistes en herbe, ce parc recèle de nombreux trésors : massifs floraux, arbres exotiques et des essences d'arbres remarquables telles que des ginkgos bilobas ou un orme de Sibérie.

Pour venir au parc des Buttes-Chaumont, l'idéal est d'y pénétrer par l'entrée située rue Manin (métro le plus proche : Laumière) en face de la mairie du 19ème arrondissement (loin d'être moche au passage).
Mais le parc est plus facilement accessible par les stations Buttes Chaumont ou Botzaris.

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Balade au bassin de la Villette

Comme chaque année, Paris Plage envahit la capitale. Mais outre les bords de la Seine, l’évènement s’installe également au bassin de la Villette, l’un de mes endroits préférés du 19e arrondissement.

Du côté du Quai de Seine, sable, transats et parasols aux couleurs acidulées ont remplacé le bitume.
Les enfants font tranquillement leur château de sable ou des parcours aventure tandis que certains s’essaient aux cours de danses de salon. D’autres, au contraire, préfèrent prendre un verre à la buvette et grignoter quelques tapas en regardant une partie de pétanque.

De chaque côté du bassin (quai de Seine et de Loire), la base nautique propose des loisirs gratuits pour petits et grands : pédalo, kayak, barques…
Et si vous voulez faire du bateau, il est possible d’en louer un électrique (pas besoin de permis) pour une ballade tranquille sur le bassin (10 euros les 30min).

Et si vous souhaitez manger tranquillement au bord d’une agréable terrasse, les pieds dans l'eau pour ainsi dire, je vous conseille vivement le restaurant 25° Est, situé près de la rotonde de Stalingrad.

Nous avons eu bien dû mal à choisir notre plat tant tout paraît alléchant.
La chaleur nous fait opter pour une salade 25 degrés est (salade, poire, fruits de mer, saumon fumé, blinis, carottes rapées…) et une planche paysanne (assortiment charcuterie et fromage servi avec une salade). Et la qualité est incontestablement là !
D’ailleurs, je n’ai pas su résister à une part de tarte tatin…
Pour le prix (voir plus bas) et la gentillesse des serveurs, ce resto/bar/brasserie va devenir une de mes cantines !

Et pour terminer votre après-midi/soirée en beauté, il ne vous reste plus qu'à vous faire une toile dans l'un des deux cinéma MK2 se faisant face...

Plus d’infos :
25° Est - Site officiel
10 place de la bataille de stalingrad 75019 Paris – Metro 2 Jaurès
Toutes les entrées et tous les desserts sont à 5 euros. Pour le plat comptez de 9 à 14 euros.
En semaine, trois formules midi allant de 8,50 à 14,80 euros (entrée, plat et dessert du jour) sont proposées.

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Visite des égouts de Paris

A 5 mètres sous terre, se trouve l'un des musées les plus saugrenus de Paris : le musée des égoûts !

Et oui, même les égouts ont droit à un musée. Et pour cause, le réseau des égouts de Paris est le plus vaste (2400 km de galeries, l'équivalent d'un Paris-Istanbul) et le plus moderne au monde.
L'occasion de visiter la ville sous la ville en traversant une partie des souterrains (500m) toujours en exploitation.

La visite qui dure approximativement 1h (si vous vous donnez la peine de lire tous les panneaux), présente le cycle de l'eau, les techniques d'écoulement des eaux, le métier d'égoutier et les machines utilisées (wagon-vanne, boule de curetage, bateau-vanne...) ainsi que l'histoire des égouts du temps où Paris s'appelait encore Lutèce à aujourd'hui.
Toute une partie est également consacrée à la crue de la Seine en 1910 qui inonda Paris durant une quarantaine de jours !

Pour en terminer avec les clichés, nous n'avons pas croisé de rats ni d'autres rongeurs dans ce secteur (où visiblement les produits dératisants ont été efficaces) et l'odeur n'est pas insoutenable, ça sent les canalisations, c'est tout!

Ce musée a en effet d'autres problèmes plus gênants pour ses visiteurs :
- Certains panneaux explicatifs sont vieillots et la plupart commencent même à pourrir.
- Quant aux autres panneaux, ils viennent d'autres musées et sont installés n'importe comment dans le musée, ce qui fait que les informations données sont redondantes (le système de la boule de curetage est expliquée sur au moins 4-5 panneaux différents).
Dérangeant mais pas non plus de quoi en faire un drame.

Par contre, les visiteurs étrangers ont de quoi être déçus : seulement 30% des panneaux sont traduits (et en anglais seulement) sans compter que la visite guidée n'existe qu'en français...

Bref, une balade instructive dans l'intestin de Leviathan (dixit Victor Hugo) mais qui mériterait d'être mieux agencée et surtout d'être mise à jour. On en a pour son argent, pas plus !
D'ailleurs, je pense que la visite guidée par un égoutier doit être beaucoup plus enrichissante et claire que la visite libre.

Enfin comme tout musée, vous pourrez vous arrêter à la boutique où sont vendus des babioles dont une qui nous a bien fait rire : la peluche de "rat réaliste" !

Plus d'informations :
Site officiel : Musée des égouts
Adresse : Pont de l'Alma, rive gauche, face au 93 quai d'Orsay - 75007 Paris
Horaires :
Fermé jeudi et vendredi.
Du samedi au mercredi de 11h à 16h du 1/10 au 30/04.
Du samedi au mercredi de 11h à 17h du 1/05 au 30/09.
Tarif : De 3,50 à 4,30 euros

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Balade aux Puces de Saint-Ouen

Les puces de Paris Saint-Ouen, le premier marché d'antiquités au monde, rien que ça ! Pour nous, il est devenu un lieu propice aux balades du dimanche parmi des objets authentiques datant de toutes les époques, évoquant une certaine nostalgie des siècles passées...

Véritable labyrinthe, il fait bon se promener dans les allées de ces différents marchés tous consacrés à un thème que ce soit l'art d'Asie, les meubles vintage ou encore les vêtements de créateurs...

Au marché Serpette, outre les antiquités haut de gamme (dont notamment des boutiques de vieux bagages de luxe dont d'anciennes malles Vuitton), n'hésitez pas à faire une halte pour vous restaurer à "la petite salle à manger", un adorable snack/resto aux prix plutôt doux.
Pour notre part, nous avons testé le poulet iranien aux groseilles (11 euros), un régal !

D'ailleurs, le marché en lui-même est un plaisir pour les yeux, on ne sait plus où donner de la tête dans les différents étalages : Jules Vallès, Paul Bert, Le Passage, Cambo, Biron...

Nous avons également eu l'occasion d'aller voir la mini-exposition "Les arts forains s'invitent aux Puces" dans le Pavillon de Lierre composée d'anciens objets forains appartenant à la collection de Marcel Campion. Malgré le petit nombre d'objets, l'expo laisse derrière elle une envie de barbe à papa et de train fantôme...

En savoir plus :
- Site officiel du marché aux puces : www.parispuces.com
- Plan du marché et informations pratiques (en pdf)

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