Les Terrasses Bleues 1664 à l’Ecole des Beaux-Arts

Hier soir, la marque de bière 1664 (marque appartenant au groupe Kronenbourg), lançait la seconde édition de ces soirées « Terrasses bleues ».

Outre le fait de célébrer « le goût à la française » prôné par 1664, c’était également l’occasion pour la marque de fêter le lancement d’un nouveau design en la présence de son auteur et invité d’honneur, le couturier Christian Lacroix.

Le lieu était particulièrement bien choisi puisqu’il s’agissait de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-arts de Paris. La bâtisse ainsi que la salle intérieure étaient éclairées en bleu, blanc et rouge – donnant une atmosphère particulière à la soirée.

Sur scène, le show était assuré par « Something à la mode » un groupe d’électro-baroque dijonnais, mêlant habilement musique électronique et musique classique (violon/violoncelle).

L’heure était surtout à la dégustation des différents produits de la marque : bière blanche, brune et blonde. L’occasion de goûter un peu à tout et de choisir sa bière préférée – honnêtement la blanche est vraiment pas mal !

Des petites vitrines étaient également disposés pour présenter la collaboration Christian Lacroix x 1664 : canettes, verres et dessous de verre en édition limitée. Pour représenter l’art de vivre français, le couturier a opté pour des dessins des monuments parisiens : Moulin Rouge, Tour Eiffel, Arc de Triomphe, La Défense…

Avant de partir, il ne manquait plus qu’à se faire prendre en photo à la table d’un bistrot sous la Tour Eiffel… So frenchy, so parisien, so romantic !

Une soirée plus que sympa dans un lieu exceptionnel… Pour le coup 1664 a bel et bien réussi à célébrer un art de vivre qui nous est cher !

D’ailleurs, la prochaine fois, ce serait également très sympa de faire un brunch campagnard (fromage, charcuterie, bière), non ? M’enfin, je ne me plains pas puisque le traiteur de la soirée était excellent…

Plus d'infos :
Les Terrasses bleues sur Facebook

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Inauguration du Village Russe et du restaurant les Nuits Blanches

A quelques jours de la fin d’année 2010, il est bientôt temps de clore l’année de la Russie en France pour laisser la place au Mexique.
Mais autant le dire, la razzia russe a bel et bien eu lieu : la matryoshka a envahi nos rayons (même vestimentaire avec Etam), les marques russes ont brillé sous le feu des projecteurs (Kusmi Tea par exemple), il ne manquait plus qu’un lieu pour réunir l’art de vivre « à la russe ».

C’est désormais le cas avec l’ouverture du Village Russe, un espace dédié qui à terme comprendra :
- une épicerie fine « Gastronomie Russe »
- un bar « Gorinitch »
- une « Banya » ou sauna russe, pour découvrir les rituels de beauté venus du grand froid
- un restaurant gastronomique de 200 couverts: « Les Nuits Blanches »

Nous avons eu la chance d’assister à l’inauguration du restaurant – dîner spectacle « Les nuits blanches », nommé ainsi en l’honneur du livre éponyme de Fiodor Dostoïevski.
D’ailleurs, toute la décoration du lieu, très sobre en noir/blanc/doré, est une interprétation graphique de ce roman.

Pour bien commencer la soirée, rien de mieux qu’un shot de Russian Standard Vodka ou une flûte de champagne et de petits fours dont des pirojki (petits pains briochés farcis). Cet apéritif était également l’occasion de découvrir tranquillement toute l’attention apportée aux détails sur la décoration de table.

Au fur et à mesure du repas, le restaurant gastronomique s’éloigne de sa Russie natale…
L’entrée était parfaite : blinis maison avec du caviar rouge, pirojki, macédoine à la russe et bortsch (soupe). S’ensuit du saumon accompagné d’une pyramide de riz et de céleri en salade pour terminer avec un gâteau au chocolat.

Le dîner était entrecoupé d’un spectacle en trois parties avec danses et acrobaties sur le thème de la Russie traditionnelle, folklorique, tsigane et enfin une Russie plus moderne, loin des clichés.
Les musiques n’étaient pas vraiment toutes dans le thème mais avait au moins le mérite d’être chantées en russe.

D’ailleurs, le spectacle est mené par deux chanteuses : Yuliana, la blonde…

Et Silvia, la brune…

accompagnées de danseurs, danseuses et d’une acrobate.

Nous n’avons malheureusement pas pu rester jusqu’à la fin mais nous ne sommes pas partis les mains vides… un sac de l’épicerie « Gastronomie russe » nous a gentiment été offert…
De quoi s’envoler vers St Petersbourg tranquillement assise dans mon canapé…

Pour en savoir plus :
Le village russe – site officiel
Le blog du village russe
50, avenue Pierre Mendès France – 75013 Paris mais l’endroit est plus facilement accessible par la place Augusta Holmes en face des sculptures de dragons.

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Tennis : Masters 2010 de Paris-Bercy, 7 bonnes raisons d'y aller !

Après un essai concluant des Masters de tennis de Paris-Bercy 2009, l’Homme n’a pas eu beaucoup de mal à me motiver pour aller à l’édition 2010.
Et pourtant, le sport est loin d’être mon dada et le regarder à la tv est une punition (rien que ça) !

Non, je ne suis pas masochiste, j’ai juste 4 bonnes raisons d’aller au tournoi de tennis des Masters BNP Paribas :

1. Les meilleurs joueurs de tennis ne viennent en France que deux fois par an : les Masters et Roland-Garros. Sauf que Roland Garros est
- cher (même si les places du tournoi BNP ont considérablement augmenté cette année),
- difficilement accessible (franchement Porte d’Auteuil M10, ce n’est pas le plus pratique)
- et en plein air (cf. raison n°2)

2. Les rencontres ont lieu au POPB (Palais Omnisport de Paris Bercy pour les incultes). Vous me direz, oui et alors ? Et bien c’est couvert pardi : pas d’annulation ou de retard pour causes de conditions météorologiques pourries. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige, on est tranquille au chaud…

3. Même quand on travaille, on peut y aller ! Tout le monde n’a pas forcément envie de poser un RTT pour aller voir un match de tennis. Ici, on peut prendre soit des billets « journée » (4 matchs) soit des billets « soirée » (2 matchs). Une session nocturne qui commence à 19h30, de quoi se détendre après une dure journée de boulot.

4. L’occasion de supporter les joueurs français qui ont tendance à briller lors de ce dernier tournoi ATP Masters de la saison.

De plus, il y a trois petits détails que j’aime particulièrement lors de ces rencontres tennistiques :

- Le silence qui s’impose naturellement dans l’enceinte de Bercy lors des sets, uniquement interrompu par le crissement des semelles, le bruit de la frappe et les applaudissements du public.

- Scruter comme une gamine les compteurs : celui indiquant la vitesse de la balle (jusqu’à 219 km/h lors de la rencontre entre Florent Serra et Tomas Berdych) et celui de la cagnotte BNP Paribas pour l’UNICEF (qui augmente de 10 euros par ace).

- Regarder en douce les enfants ramasseurs de balle s’échauffer, les photographes à l’affût de LA photo et les commentateurs sportifs attentifs alors que tous les yeux sont tournés vers le court.

Sinon pour les infos sportives de ce 2e tour:
- Gael Monfils a battu Benjamin Becker malgré un début difficile et une cheville douloureuse (7-6, 6-4). Un beau match !
- Florent Serra s'est fait éliminé par le tchèque Tomas Berdych (6-3, 6-1) en à peine 1h.

BNP Paribas Masters de tennis 2010
Du 6 au 14 novembre 2010
Site officiel et billetterie : http://bnpparibasmasters.billetterie.fft.fr

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Le Cointreau Privé : bar éphémère de Dita Von Teese

"Il continue d'exister à Paris des endroits confidentiels à l'abri des regards indiscrets...
Sur la butte Montmartre, découvrez au détour d'une allée pavée à gauche du célèbre Rocher de la Sorcière, un portail en fer forgé...
Derrière se devine un jardin verdoyant, un hôtel particulier aux murs blancs, une plaque dorée rassure les initiés qu'ils sont bien arrivés... Le Cointreau Privé vous attend..."

Du 28 septembre au 24 octobre 2010, la fameuse marque de liqueur d'orange, Cointreau, a ouvert un bar éphémère au nom chic de Cointreau privé.
Situé dans l'Hôtel Particulier Montmartre, une adresse cachée dans une rue pavée discrète, seules les personnes inscrites au préalable sur le site Internet pouvait s'y rendre...
Petite parenthèse : l'organisation pour s'inscrire sur le site puis sur les listes et recevoir ou non le bracelet était un peu brouillonne...

Pour l'occasion, l'ambassadrice de charme de Cointreau, l'effeuilleuse Dita Von Teese a joué à fond son rôle de directrice artistique : décoration des salons, choix des cocktails... rien n'a été laissé au hasard!

Il en résulte une atmosphère intime à la décoration raffinée : fauteuils aux tissus brocart, lampes style art deco Tiffany, murs capitonnés...
Et pour l'ambiance, rien de tel qu'un joueur de piano qui laissait ensuite sa place au dj de la soirée.

A l'entrée, nous nous étions vu remettre un miroir échangeable contre un cocktail. Nous testons donc le fameaux Cointreaupolitan à la jolie couleur rose : 5cl de Cointreau, 3cl de jus de cranberries, 2 cl de jus de citron - le tout mélangé dans un shaker avec des glaçons.
Simple (à refaire chez soi) mais délicieux, voire même addictif !

Bien sûr, la diva a également un cocktail à son nom : Cointreau Teese (4 cl de Cointreau, 2 cl de jus de pomme, 1,5 cl de sirop de violette , 1,5 cl de jus de citron) à la douce couleur violette.
Et pour grignoter, une carte de tapas était également proposée : tortillas chorizo, foie gras, salade de betterave et de fraises tagada, macarons...
Tous les salons des étages supérieurs étant occupés, je n'ai fait aucune photo pour ne pas déranger les personnes présentes...

Bien sûr, avant de partir, nous passons par la case boutique devant laquelle trône le costume de scène de Dita Von Teese pour son show Le Bain, désormais intitulé The Be cointreau-versial show.
A l'intérieur, que du merchandising de la performeuse : t-shirts, livres, cartes postales, images dédicacées... mais aucune trace de produits Cointreau !
Dommage, nous aurions bien voulu acheter le shaker rose translucide de la marque (vendu uniquement sur leur site) qui servait d'ailleurs de photophores dans les allées extérieures...

Un bar éphémère bien sympathique avec le souci du détail malgré une organisation désordonnée !

Ci-dessus, nos précieux sésames : le bracelet d'entrée et le miroir de poche Cointreaupolitan.

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Festi'Bacchus : la fête des vins de France

Je ne bois pas de vin (ni de café d’ailleurs) qu’il soit rouge, blanc ou rosé. Non pas par religion ou autre motif, je n’aime pas ça c’est tout.
Jeune, on nous dit toujours que nos goûts s’affineront avec l’âge – pour le vin, c’est raté (par contre pour le fromage, miam). Bon, je ne suis pas non plus réticente, si c’est un tant soit peu sucré genre Muscat de Rivesaltes, ça passe encore…

Pourquoi je vous parle de ça ? Tout simplement pour vous parler du Festi’Bacchus qui avait lieu le week-end dernier du vendredi au dimanche. En effet, si le vin me laisse insensible, mon cher et tendre ne partage pas mon avis, je l’ai donc accompagné à la fête des Vins de France qui avait lieu sur la place des Vins de France (ça ne s’invente pas) à côté de Bercy village dans le 12ème arrondissement.

Pour clore définitivement l’été en beauté, le soleil est au rendez-vous.
Nous arrivons sur la place où se dressent une multitude de chapiteaux blancs. Au centre, quelques tables empiètent sur la pelouse où des enfants jouent tandis que leurs parents tranquillement assis dans l’herbe dégustent leurs trouvailles viticoles (avec modération, bien sûr !).
On se croirait presque à une garden-party champêtre…

L’entrée est libre mais il est possible d’acheter un verre à vin (3 ou 5 euros) , que l’on peut garder pour soi et qui sur place peut notamment servir à déguster des vins aux stands qui auraient oublié d’apporter des verres.
Etant donné que nous avons cassé un de nos verres Ikea, il n’y a pas longtemps, nous en profitons pour en prendre deux.

Avant de nous attarder à un stand bien précis, nous faisons d’abord le tour des exposants : une quarantaine de producteurs des quatre coins de la France présentent leurs vins (une trentaine d’appellation étaient présentes).

Nous commençons alors notre dégustation par un apéritif, de l’armagnac, puis nous commençons la tournée des blancs.
Je tiens à préciser que je ne me rappelle pas les noms de tous les producteurs présents et je m’en excuse d’avance. Ceux notés sont ceux qui m’ont fait la meilleure impression par leur disponibilité et amabilité.

Malgré mon important degré d’ignorance, certains viticulteurs n’hésitent pas à tout m’expliquer en détail, les termes d’œnologie, les cépages… je remercie notamment les personnes qui tenaient le stand du clos Gaudin de m’avoir fait un cours sur les vins blancs avec gentillesse, patience et sourire en prime ! En même temps, il faut dire qu’ils m’ont quasiment fait goûté toute leur gamme (chardonnay de Chardonnay, bourgogne blanc, crémant de bourgogne…).

Un petit tour ensuite au stand du Château La Brie pour déguster un Monbazillac (que je décrète désormais comme mon vin préféré…).
Nous enchaînons encore par d’autres stands dont notamment celui du Château Labastidié et de son vin blanc doux répondant au joli nom de « Loin de l’œil, près du cœur » où l’on nous propose également de goûter une terrine au roquefort et une autre de canard aux figues.
Loin d’être mauvais !

Pour faire une transition, nous traînons ensuite vers le Marché Gourmand où des odeurs d’aligot s’échappent d’une énorme poêle. De quoi nous faire saliver mais nous résisterons à la tentation. Nous faisons un arrêt au stand dédié aux accompagnements artisanaux d’apéro : caviar d’aubergine, tapenade, crème d’artichauts, aïoli… ainsi qu’une délicieuse sardinade !
Au suivant : charcuterie corse et cochonailles !
Notre pause repas se terminera enfin au stand de foie gras par la dégustation de mousse de foie gras au porto…

Il est désormais temps de tester les vins rosés et rouges : pour le coup je ne suis pas du tout une amatrice, mais je goûte quand même un Côtes du Rhône – Chateauneuf du Pape, un vin fait pour les femmes du domaine Saint Michel l’Archange (avec un coffret rose fluo) et un dernier du Château Rabeche . Nous nous attablons pour boire notre dernier verre au son très agréable des musiciens de jazz du groupe Patchwork…

Avant de partir, nous nous arrêtons pour voir le mobilier et les objets de décoration de Gérard Busin faits uniquement avec tonneaux, des fûts et des barriques. Site officiel de Gérard Busin.

Dernier stop : le fournil pour acheter un bout de Jalousé (un gros pain) et goûter de la fouace (brioche à la fleur d'oranger) à tomber!

Un festival bien sympathique, aussi bien pour les amateurs de vins que les ignares curieux. A noter que le vendredi, des débats et conférences étaient organisées pour les professionnels de l'œnologie.

site officiel du Festi'Bacchus : www.festibacchus.fr

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Ganesha Chaturthi : la fête du dieu Ganesh

Hier était un jour de fête pour les hindous et pas n’importe laquelle : celle de Ganesh, le dieu à tête d’éléphant. Comme chaque année, depuis plus de 15 ans, les communautés hindoue et tamoule se sont données rendez-vous dans le quartier indien de Paris, près du métro La Chapelle, pour Ganesha Chaturthi.

Afin de ne pas déranger les cérémonies religieuses commençant à 9h au temple de Sri Manicka Vinayakar Alayam (rue Pajol), nous décidons de ne venir que sur les coups de 11h pour assister au cortège.

A notre arrivée, la procession avait déjà commencée… Pas grave, nous la rejoindrons un peu plus loin !
En attendant d’adorables jeunes filles vêtues de magnifiques sari nous offrent des gobelets remplis de thé sri lankais (à savoir du thé très infusé servi avec du lait et beaucoup de sucre).

J'en profite pour acheter un collier de fleurs de jasmin (ça fait peut-être touriste mais cela sent horriblement bon) à l'un des innombrables vendeurs présents.

Le temple s’étant désempli, nous décidons d’aller y jeter un coup d’œil rapide pour ne pas déranger les fidèles… Hop, nous retirons nos chaussures et entrons dans ce lieu sacré à la découverte de leurs idoles sous forme de statues (vigrahas) : Shri Lakshmi, Durga, Hanuman…
Au centre de la pièce, hommes et femmes font chacun la queue de leur côté avec des offrandes pour Ganesh et reçoivent au passage le tilak, cette bénédiction/ marque de bon augure que les prêtres apposent sur le front.

Nous quittons ensuite le temple et rejoignons le cortège près du métro La Chapelle où une foule imposante, composée essentiellement de familles et de quelques curieux, attend patiemment le char de Ganesh.

Des centaines de noix de coco traînent sur les trottoirs en attendant d’être brisées à l’approche du char (signe que l’on offre son cœur au dieu) ; de nombreuses personnes tiennent des paniers d'offrande (remplis de fruits et de gourmandises, le péché mignon de Ganesh) dans leurs mains ; en tête du cortège défilent des danseurs et danseuses qui croulent sous le poids d’arceaux de plumes de paon…

ou de chevaux bleus tels des cavaliers, au son des percussions.
Les odeurs de jasmin, de noix de coco et d’encens envahissent l’air tandis que passent des femmes portant sur leur tête des katpuram chatti, poteries en terre cuite dans lesquelles brûle du camphre.

Nous attendons sagement le passage des chars dans une ambiance très conviviale. Ici pas de cohue, pas de bousculades... Nous sommes cernés de toute part par des personnes souriantes et de femmes et fillettes aux saris colorés... Tiens, on nous offre une salade de pois chiche chaude... miam !

Ce voyage initiatique en Inde parisienne touche à son apogée avec l’arrivée du char de Ganesh tracté par des hommes. Répartis en deux rangées, les hommes torses nus tirent le char mesurant près de 5 mètres à l’aide de cordes.

Dans le char, l’effigie du dieu à tête d’éléphant est recouverte de tissus rouges et blanc et entourées de paniers de fruits (essentiellement des bananes et des noix de coco). De temps à autre, le char s’arrête laissant un peu de répit aux hommes le tirant et permettant au « prêtre » de bénir la foule…

Quelques minutes plus tard, c’est au tour du char de Skanda, frère de Ganesh, de passer. La différence ? Son char est tracté par des femmes (et quelques hommes qui viennent leur prêter main forte).

Le cortège avancera ainsi pendant plus de 4h avant de retourner au temple.

Après avoir suivi la procession sur une partie de son parcours, nous nous installons à l'une des tables installées devant l'un de nos restos indiens occidentalisés préférés : le Dishny. Eh oui, l'agitation ambiante + les senteurs des épices, ça creuse !

Pour l'occasion, le restaurant proposait deux plateaux repas. Nous optons pour le végétarien : samoussa, thali et salade de fruits frais. Et en bonus, je prends un lassi à la rose. Comme d'habitude, un vrai régal !

Nous quittons tranquillement le quartier où peu à peu disparaissent les traces de la fête sous les jets des camions de nettoyage de la mairie...

Un conseil pour l'année prochaine : ne ratez pas cette fête !

Pour en savoir plus sur Ganesh : http://www.templeganesh.fr

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Entrevue fête ses 18 ans : soirée d'anniversaire au 1515

Le mercredi 30 juin 2010, le magazine Entrevue fêtait son passage à la majorité, son dix-huitième anniversaire au 1515 (rue Marbeuf 75008).
Par chance, nous avions gagné des entrées pour cette soirée dite "VIP".
Si toutes les vérités sont bonnes à dire, la tenue correcte, elle, est exigée (à savoir string et talons hauts ? - trève de plaisanterie).



Petite bourde à l'accueil, ils ont oublié de rajouter un tas de noms sur la liste - No souci, le webmaster d'Entrevue.fr nous accueille comme il se doit (sympa!).
Après avoir gentiment (mais fermement) refuser le shooting photo, nous découvrons la très belle salle du 1515, of course verre de champagne à la main (facile quand la soirée est sponsorisée par une marque de champagne).



Nous naviguons de petits fours en toasts de foie gras jusqu'au moment où nous pouvons enfin descendre s'installer dans un des nombreux fauteuils Chesterfield où nous écoutons la très bonne prestation d'un DJ sans platine (uniquement avec sa voix).
Vient ensuite le discours des organisateurs que la moitié de la salle ignore tranquillement jusqu'au gâteau d'anniversaire aux bougies vite soufflées.
. Le moment du tirage au sort arrive - en effet, Entrevue a sorti la totale en faisant gagner deux montres Dubey&Schaldenbrand, je cite "qui valent une voiture", une pour femme, l'autre pour homme. Et devinez qui gagne la montre pour homme... Marc Dorcel, oui le producteur porno (c'est dans ces moments-là qu'on se rappelle qu'il s'agit d'une fête Entrevue).



Avant que la salle ne se transforme en dancefloor, quelques artistes viennent se produire sur scène dont notamment La fille du voisin visiblement connue grâce à sa chanson "Alors on perd" ...

Il est alors temps pour nous de rentrer après avoir passé une très bonne soirée dans l'ensemble. A la sortie, des hôtesses nous donnent un sac de goodies, sympa puisqu'il sera offert à tous les invités. Le contenu (mix de décadence et de classe)  : le nouveau magazine Entrevue, des préservatifs, un porte-clé Dubey&Schaldenbrand, une invitation dans le spa Terre d'Iris, un t-shirt et un ethylotest.

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Hellfest 2010 : Let's rock'n'roll all night and party everyday !

Ce matin commence le Hellfest 2010 qui se tient du 18 au 20 juin, à Clisson près de Nantes. D’ailleurs, ce festival des musiques extrêmes qui attire près de 60 000 festivaliers de 50 nationalités différentes fête ses cinq ans, et pour ma part ce sera ma 4ième édition !

Comme d’habitude, quatre scènes qui accueilleront des groupes de tous les genres du métal : Hard Rock, Black Metal, Heavy Metal, Hardcore, Death Metal, Glam, Doom, Grind, Thrash, Indus, Progressif, Punk, Rock…

Voici un petit listing des groupes présents :

Mainstage 01 : Fear Factory, Sepultura, Infectious Grooves, Deftones, KMFDM, Mass Hysteria, Evile, Tamtrum, Alice Cooper, Twisted Sister, Slash, Airbourne, Pretty maids, Y&T, Delain, Electric Mary, Kiss, Motorhead, Stonesour, Saxon, UDO, Primal Fear, Freak Kitchen, Vulcain.

Mainstage 02 : Biohazard, Arch Enemy, Sick of it all, Hypocrisy, Finntroll, Walls of Jericho, Crowbar, Swallow the sun, Gorod, Carcass, Immortal, annihilator, Nevermore, Anvil, Raven, Tankard, Born from pain, Dew scented, Slayer, Exodus, Devin Townsend Project, Behemoth, Ensiferum, Eluveitie, Sabaton, Blaspheme.

Rock Hard tent : Marduk, Ulver, Watain, Loudblast, Ihsahn, Kampfar, Necrophagist, Urgehal, Otargos, Fields of the Nephilim, My dying bride, Candlemass, Dark Funeral, Sadist, Asphyx, Count Raven, Obscura, Kalisia, Bloodbath, Nile, Suffocation, Katatonia, Dying Fetus, Decapitated, Ex deo, General Surgery.

Terrorizer tent : The devil’s blood, Godflesh, The young gods, Nachtmystium, Monkey 3, Between the buried and me, Secrets of the moon, Ghost brigade, Negura Bunget, Sigh, Magrudergrind, Carnifex, The faceless, Jello Biafra, Agnostic Front, 7 seconds, As I lay dying, unearth, 36 Crazyfists, Earth Crisis, Sworn Enemy, Skarhead, Discipline, Architects, Wisdom in Chains, Knuckledust, Garcia plays Kyuss, The Dillinger Escape Plan, Doom, Brant Bjork and the bros, Mondo Generator, Yawning man, Rwake, Weedeater, Black Cobra, Saviours, 16 , Solace, Omega Massif.

Sur ce Let's rock'n'roll all night and party everyday !

Site officiel : Hellfest
Artistes, date et heure de passage : Running order

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Kusmi Tea : Nuits slaves n°2 au Cirque Romanès

Hier soir avait lieu la nuit slave n°2 organisée par la marque de thé Kusmi Tea.
Sous le signe de la fête nationale russe, la soirée se tenait dans un lieu original et légèrement féerique, le Cirque tsigane Romanès, près de la Porte de Champerret.

Une soirée bien sympathique dans le cadre d'un chapiteau de cirque chaleureux mais spacieux rythmée au son des musiques tziganes et dédiée au prince Vladimir (thé Kusmi crée par Pavel Kousmichoff en 1888). Manque de pot, nous sommes arrivés trop tard et avons raté le mini-spectacle de cirque !

Tant pis, nous nous rabattons sur le cocktail rafraîchissant Kusmiroska (jus de pamplemousse, sirop de thé prince Wladimir, Vodka Russian standard) que nous avons ingurgité en quantité. Non, non, je ne suis pas alcoolo, j'ai bien fait attention de les entrecouper avec du thé glacé "Prince Glacé" (citron jaune, pamplemousse et thé glacé prince Vladimir of course).
Et pour ne pas boire le ventre vide (genre !), nous avons également profité de ces délicieux petits gâteaux russes fournis par l’épicerie russe…

Et pour immortaliser cette soirée, il ne manquait plus qu'à faire un petit tour par le Kusminaton en prenant la pose coiffée d'une chapka (je confirme ça tient très chaud) et vêtu d'une veste militaire. Le petit oiseau sorti, il ne restait plus qu'à attendre pour récupérer sa photo.

Bref, un très bon moment !
D'ailleurs, je reviendrai bien dans ce charmant cirque Romanès pour voir un de leurs spectacles !
Quant à Kusmi Tea, j'espère avoir la chance d'assister à leur prochaine Nuit Slave qui aura lieu en décembre.

Site officiel des Nuits slaves : www.lesnuitsslaves.com
Site du cirque Romanes : www.cirqueromanes.com

P.S. : Je tiens juste à préciser que je m'y suis rendue en tant qu'invitée et que je suis repartie les mains vides... je n'ai pas une once de jalousie mais je reconnais qu'un accueil plus chaleureux des hôtesses ne m'aurait pas fait de mal et qu'une petite boîte de thé et/ou un massage m'aurait bien fait plaisir !

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