Avant-dernier matin, la lumière du jour qui traverse les volets nous réveille. Youhou, il fait beau, ciel bleu et grand soleil, nous allons enfin pouvoir profiter de la chaleur espagnole ! Nous voulons prendre notre petit-déjeuner au marché de la Boqueria mais il est fermé en ce lundi de Pâques.
Pas loin, nous tombons sur l’enseigne américaine Dunkin Donuts (qui s’appelle ici Dunkin Coffee).
Nous emportons trois donuts et nous nous dirigeons vers Montjuic (métro jusqu’à la station Parallel puis prendre le funiculaire qui nous dépose ne bas de Montjuic).
Dès la sortie du funiculaire, la vue sur Barcelone est déjà magnifique. Nous trouvons des bancs et des tables en plein air pour dévorer nos donuts (1 glaçage au citron, 1 fourré et glacé à la framboise et 1 fourré pomme/cannelle).
Nous suivons ensuite les panneaux qui indiquent tous les lieux à voir à Montjuic. Au fur et à mesure que nous marchons, nous trouvons pleins de petits parcs/jardins publics calmes et splendides. Nous passons devant la Fundacio Joan Miro où la file d’attente atteint quasiment la rue.
Nous passons par des petits chemins au sein des parcs puis arrivons devant le Musée National d4art Catalan. Au bas des escaliers et escalators menant au musée, on peut apercevoir les fontaines de Montjuic (où un spectacle son et lumière est organisée le soir durant les beaux jours).
Il commence à faire vraiment chaud et nous continuons à monter en direction du stade olympique.
Sur l’esplanade devant le stade, se trouve la Tour Calatrava (Torre Calatrava, la tour des télécommunications). Il fait bon se poser devant à l’ombre des fontaines du stade olympique avec une vue sur la tour Calatrava et le Palau Sant Jordi. D’ailleurs nous avons trouvé un petit rat dont l’auteur me semble t-il est Banksy, non ?
Nous pénétrons dans l’enceinte du stade. Rien à voir avec le Camp Nou bien au contraire ! Les sièges sont gris, certaines structures sont en train de rouiller, le stade n’est vraiment pas terrible, ce ne sera donc pas une grande perte si vous ne le visitez pas.
Nous entamons notre montée vers le château de Montjuic. Facile, il suffit de suivre le chemin qu’emprunte les téléphériques au-dessus de nos têtes.
Il fait horriblement chaud et nous avons l’impression que nous n’arriverons jamais là-haut…
Et pourtant, nous arrivons (enfin !) devant le Castell de Montjuic qui offre une vue imprenable sur la ville (heureusement, nous n’avons pas souffert pour rien).
Après avoir bien profité de la vue, nous nous résignons à faire le chemin inverse. Coup de chance, un bus s’apprête à partir, celui-ci nous dépose à quelques pas du funiculaire. C’est reparti pour funiculaire + métro. Comme il fait beau, nous voulons profiter un maximum des parcs, nous partons donc pour le Parc Güell. Nous devons être carrément maso car le soleil tape toujours autant et la marche pour se rendre au parc est un chouilla longue… Sans compter la pente raide que nous avons dû monter … Heureusement, quelques escalators sont là pour nous aider ! Au passage, nous passons devant un bon tas de tags/graffitis aussi jolis les uns que les autres.
Nous ne sommes pas les seuls à avoir eu l’idée de venir ici. Le parc Güell est moins grand que ce que nous pensions mais est néanmoins incroyable, pas étonnant il s’agit encore d’une œuvre de Gaudi. Tout est étudié dans le moindre détail et on a vite l’impression de se retrouver devant les maisons d’Hansel et Gretel. Si vous le souhaitez, au milieu du parc se trouve une bâtisse rose, la Casa Museu Gaudi que vous pouvez visiter pour en apprendre plus sur cet architecte.
Sachez que vous ne serez pas au calme au Parc Güell, il est agréable de s’y balader mais de nombreux vendeurs à la sauvette envahissent les lieux dès les premiers rayons du soleil et ne cessent de vous interpeller. Une fois notre ballade terminée, nous repartons de l’autre côté du parc en direction du métro qui est à environ 1,5 km. Le long de la descente, vous pourrez trouver de nombreux magasins à touristes. Finalement, nous n’irons pas jusqu’au métro et préférons prendre le bus. Nous nous arrêtons pas loin de la station Diagonal pour voir la Casa Milà de Gaudi (communément appelée la Pedrera). Ici encore, la file d’attente est longue, très longue, trop longue pour nous ! Nous essaierons de revenir demain matin pour être plus tranquille.
Nous rentrons tranquillement à la chambre et nous arrêtons dans une boulangerie étant donné que nous n’avions rien avalé depuis nos donuts matinaux. Nous optons pour un énorme palmier au chocolat et un grand gobelet d’horchata de chufa (une boisson à base de jus de souchet qui a la consistance du lait, pas beaucoup de goût mais très rafraîchissant).
Après notre goûter très tardif, nous profitons de notre petit balcon puis d’un bon bain. Les boutiques du Barri Gotic sont enfin ouvertes (les horaires tournant généralement autour de 11h-14h puis 16h-22h). Nous faisons un peu de lèche-vitrine dans les petites rues menant au port. Nous trouvons un bar bien sympathique, le Milk, qui propose un happy hour (3 euros le cocktail). Pour nous ce sera un Boozy Rouge Berri (vodka, crème de cassis, purée de framboises, citron et sucre de canne) et un Bling Bling (liqueur de melon, crème de banane, rhum et jus d’ananas).
La nuit a déjà commencé à tomber, nous partons donc en direction du port, passons à côté d’une petite fête foraine, rejoignons l’aquarium puis le centre commercial du MareMagnum. Nous y faisons un tour très rapide, découvrons un joli graff et repartons en direction du Barri Gotic.
Nous flânons dans les rues puis commençons à chercher un bar à tapas typique et pas trop cher. C’est comme ça que nous avons découvert le bar El Tropezon (à la Carrer Gignas ). L’endroit est bruyant et plein (c’est un bon signe !). Nous attendons qu’une table se libère et entrons nous y installer. Le patron arrive immédiatement avec un stylo et une feuille blanche qu’il pose devant nous. Puis reviens avec des menus en espagnol, anglais et français. Tous les tapas sont numérotés, il suffit donc de noter le numéro que vous souhaitez et d’indiquer les quantités à côté. Pratique, cela évite d’essayer de parler espagnol avec un patron qui n’essaiera pas de vous comprendre.
D’ailleurs faites attention en commandant de la Sangria Maison, ce n’est pas un verre qu’il vous ramène mais une pinte !
Pour moins de 25 euros, nous avons eu du chorizo flambé, du fromage, du pain à la tomate, des petits poissons frits (délicieux !) et des poivrons un peu pimenté et cuit à la poêle dans de l’huile (enfin je crois, à tomber par terre). Nous discutons avec notre voisine de table, anglaise, qui nous apprend que depuis qu’elle est arrivée, elle vient là tous les soirs pour l’ambiance et les tapas et elle n’a pas tort ! Il se fait déjà tard et la fatigue + la sangria n’arrange pas les choses, il est temps de faire dodo !
Pas loin, nous tombons sur l’enseigne américaine Dunkin Donuts (qui s’appelle ici Dunkin Coffee).
Nous emportons trois donuts et nous nous dirigeons vers Montjuic (métro jusqu’à la station Parallel puis prendre le funiculaire qui nous dépose ne bas de Montjuic).
Dès la sortie du funiculaire, la vue sur Barcelone est déjà magnifique. Nous trouvons des bancs et des tables en plein air pour dévorer nos donuts (1 glaçage au citron, 1 fourré et glacé à la framboise et 1 fourré pomme/cannelle).
Nous suivons ensuite les panneaux qui indiquent tous les lieux à voir à Montjuic. Au fur et à mesure que nous marchons, nous trouvons pleins de petits parcs/jardins publics calmes et splendides. Nous passons devant la Fundacio Joan Miro où la file d’attente atteint quasiment la rue.
Nous passons par des petits chemins au sein des parcs puis arrivons devant le Musée National d4art Catalan. Au bas des escaliers et escalators menant au musée, on peut apercevoir les fontaines de Montjuic (où un spectacle son et lumière est organisée le soir durant les beaux jours).
Il commence à faire vraiment chaud et nous continuons à monter en direction du stade olympique.
Sur l’esplanade devant le stade, se trouve la Tour Calatrava (Torre Calatrava, la tour des télécommunications). Il fait bon se poser devant à l’ombre des fontaines du stade olympique avec une vue sur la tour Calatrava et le Palau Sant Jordi. D’ailleurs nous avons trouvé un petit rat dont l’auteur me semble t-il est Banksy, non ?
Nous pénétrons dans l’enceinte du stade. Rien à voir avec le Camp Nou bien au contraire ! Les sièges sont gris, certaines structures sont en train de rouiller, le stade n’est vraiment pas terrible, ce ne sera donc pas une grande perte si vous ne le visitez pas.
Nous entamons notre montée vers le château de Montjuic. Facile, il suffit de suivre le chemin qu’emprunte les téléphériques au-dessus de nos têtes.
Il fait horriblement chaud et nous avons l’impression que nous n’arriverons jamais là-haut…
Et pourtant, nous arrivons (enfin !) devant le Castell de Montjuic qui offre une vue imprenable sur la ville (heureusement, nous n’avons pas souffert pour rien).
Après avoir bien profité de la vue, nous nous résignons à faire le chemin inverse. Coup de chance, un bus s’apprête à partir, celui-ci nous dépose à quelques pas du funiculaire. C’est reparti pour funiculaire + métro. Comme il fait beau, nous voulons profiter un maximum des parcs, nous partons donc pour le Parc Güell. Nous devons être carrément maso car le soleil tape toujours autant et la marche pour se rendre au parc est un chouilla longue… Sans compter la pente raide que nous avons dû monter … Heureusement, quelques escalators sont là pour nous aider ! Au passage, nous passons devant un bon tas de tags/graffitis aussi jolis les uns que les autres.
Nous ne sommes pas les seuls à avoir eu l’idée de venir ici. Le parc Güell est moins grand que ce que nous pensions mais est néanmoins incroyable, pas étonnant il s’agit encore d’une œuvre de Gaudi. Tout est étudié dans le moindre détail et on a vite l’impression de se retrouver devant les maisons d’Hansel et Gretel. Si vous le souhaitez, au milieu du parc se trouve une bâtisse rose, la Casa Museu Gaudi que vous pouvez visiter pour en apprendre plus sur cet architecte.
Sachez que vous ne serez pas au calme au Parc Güell, il est agréable de s’y balader mais de nombreux vendeurs à la sauvette envahissent les lieux dès les premiers rayons du soleil et ne cessent de vous interpeller. Une fois notre ballade terminée, nous repartons de l’autre côté du parc en direction du métro qui est à environ 1,5 km. Le long de la descente, vous pourrez trouver de nombreux magasins à touristes. Finalement, nous n’irons pas jusqu’au métro et préférons prendre le bus. Nous nous arrêtons pas loin de la station Diagonal pour voir la Casa Milà de Gaudi (communément appelée la Pedrera). Ici encore, la file d’attente est longue, très longue, trop longue pour nous ! Nous essaierons de revenir demain matin pour être plus tranquille.
Nous rentrons tranquillement à la chambre et nous arrêtons dans une boulangerie étant donné que nous n’avions rien avalé depuis nos donuts matinaux. Nous optons pour un énorme palmier au chocolat et un grand gobelet d’horchata de chufa (une boisson à base de jus de souchet qui a la consistance du lait, pas beaucoup de goût mais très rafraîchissant).
Après notre goûter très tardif, nous profitons de notre petit balcon puis d’un bon bain. Les boutiques du Barri Gotic sont enfin ouvertes (les horaires tournant généralement autour de 11h-14h puis 16h-22h). Nous faisons un peu de lèche-vitrine dans les petites rues menant au port. Nous trouvons un bar bien sympathique, le Milk, qui propose un happy hour (3 euros le cocktail). Pour nous ce sera un Boozy Rouge Berri (vodka, crème de cassis, purée de framboises, citron et sucre de canne) et un Bling Bling (liqueur de melon, crème de banane, rhum et jus d’ananas).
La nuit a déjà commencé à tomber, nous partons donc en direction du port, passons à côté d’une petite fête foraine, rejoignons l’aquarium puis le centre commercial du MareMagnum. Nous y faisons un tour très rapide, découvrons un joli graff et repartons en direction du Barri Gotic.
Nous flânons dans les rues puis commençons à chercher un bar à tapas typique et pas trop cher. C’est comme ça que nous avons découvert le bar El Tropezon (à la Carrer Gignas ). L’endroit est bruyant et plein (c’est un bon signe !). Nous attendons qu’une table se libère et entrons nous y installer. Le patron arrive immédiatement avec un stylo et une feuille blanche qu’il pose devant nous. Puis reviens avec des menus en espagnol, anglais et français. Tous les tapas sont numérotés, il suffit donc de noter le numéro que vous souhaitez et d’indiquer les quantités à côté. Pratique, cela évite d’essayer de parler espagnol avec un patron qui n’essaiera pas de vous comprendre.
D’ailleurs faites attention en commandant de la Sangria Maison, ce n’est pas un verre qu’il vous ramène mais une pinte !
Pour moins de 25 euros, nous avons eu du chorizo flambé, du fromage, du pain à la tomate, des petits poissons frits (délicieux !) et des poivrons un peu pimenté et cuit à la poêle dans de l’huile (enfin je crois, à tomber par terre). Nous discutons avec notre voisine de table, anglaise, qui nous apprend que depuis qu’elle est arrivée, elle vient là tous les soirs pour l’ambiance et les tapas et elle n’a pas tort ! Il se fait déjà tard et la fatigue + la sangria n’arrange pas les choses, il est temps de faire dodo !
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