Jeudi dernier, 20h, UGC ciné Cité Bercy : Avant-première du film [Rec] 2 en présence des deux réalisateurs : Jaume Balaguero et Paco Plaza.
Cela fait déjà deux ans que je suis allée à l'avant-première de Rec, premier du nom. A l'époque Jaume Balaguero et Paco Plaza avait déjà fait le déplacement pour présenter leur œuvre et participer à un débat.
Cette année, ils ont décidé de nous gâter pour Noël en sortant le second opus, [Rec] 2, le 23 décembre.
Et pour ne pas changer leurs habitudes, ils sont [re]venus le présenter, un mois avant sa sortie.
Synopsis : Les autorités viennent de perdre le contact avec les occupants de l'immeuble mis en quarantaine. Personne ne sait vraiment ce qui se passe à l'intérieur. Dehors, le chaos règne...La brigade d'intervention spéciale, équipée de plusieurs caméras et envoyée sur place pour analyser la situation, va devoir affronter une menace bien réelle...
[Rec]2 commence quelques secondes après la fin du premier volet et plonge directement dans l'action, pas de place pour les temps-mort. On retrouve donc le même immeuble dans lequel va pénétrer une équipe de policiers de la brigade spéciale accompagné d’un employé du Ministère de la Santé chargés de trouver la cause et l’antidote de ce « virus » qui transforme les gens en enragés mangeurs de chair.
Il va sans dire qu’il est quasiment impossible d’apprécier et de comprendre ce film si vous n’avez pas bien suivi l’action de Rec premier du nom.
Le scénario est magnifiquement orchestré et colle parfaitement avec tous les détails du premier.
D’ailleurs bien que la peur soit moins présente, l’action et le bourrinage eux par contre ne manquent pas à l’appel et font de ce film un FPS (first person shooter) en puissance.
La mise en scène, quant à elle, est toujours aussi ingénieuse avec plusieurs points de vue et de ce fait plusieurs caméras : la caméra principale d’un policier, les mini-caméras disposés sur les casques de chaque agent et enfin la caméra d’une bande d’adolescents.
Cette suite plonge le spectateur en totale immersion ne laissant aucun moment d’ombre, aucun répit : tout est montré et rien ne reste inexpliqué… Il ne fait d’ailleurs aucun doute qu’un [Rec]3 se profile à l’horizon.
Loin d’être un banal « 2 » comme nombre de film, [Rec]2 est complémentaire et cohérent. Même si les frissons se font moins ressentir, l’ambiance apporte toujours sa dose de stress qui fait de cette duologie d’horreur, l’une des meilleures sorties de ces dernières années.
Ma note :
La bande-annonce :
Cela fait déjà deux ans que je suis allée à l'avant-première de Rec, premier du nom. A l'époque Jaume Balaguero et Paco Plaza avait déjà fait le déplacement pour présenter leur œuvre et participer à un débat.
Cette année, ils ont décidé de nous gâter pour Noël en sortant le second opus, [Rec] 2, le 23 décembre.
Et pour ne pas changer leurs habitudes, ils sont [re]venus le présenter, un mois avant sa sortie.
Synopsis : Les autorités viennent de perdre le contact avec les occupants de l'immeuble mis en quarantaine. Personne ne sait vraiment ce qui se passe à l'intérieur. Dehors, le chaos règne...La brigade d'intervention spéciale, équipée de plusieurs caméras et envoyée sur place pour analyser la situation, va devoir affronter une menace bien réelle...
[Rec]2 commence quelques secondes après la fin du premier volet et plonge directement dans l'action, pas de place pour les temps-mort. On retrouve donc le même immeuble dans lequel va pénétrer une équipe de policiers de la brigade spéciale accompagné d’un employé du Ministère de la Santé chargés de trouver la cause et l’antidote de ce « virus » qui transforme les gens en enragés mangeurs de chair.
Il va sans dire qu’il est quasiment impossible d’apprécier et de comprendre ce film si vous n’avez pas bien suivi l’action de Rec premier du nom.
Le scénario est magnifiquement orchestré et colle parfaitement avec tous les détails du premier.
D’ailleurs bien que la peur soit moins présente, l’action et le bourrinage eux par contre ne manquent pas à l’appel et font de ce film un FPS (first person shooter) en puissance.
La mise en scène, quant à elle, est toujours aussi ingénieuse avec plusieurs points de vue et de ce fait plusieurs caméras : la caméra principale d’un policier, les mini-caméras disposés sur les casques de chaque agent et enfin la caméra d’une bande d’adolescents.
Cette suite plonge le spectateur en totale immersion ne laissant aucun moment d’ombre, aucun répit : tout est montré et rien ne reste inexpliqué… Il ne fait d’ailleurs aucun doute qu’un [Rec]3 se profile à l’horizon.
Loin d’être un banal « 2 » comme nombre de film, [Rec]2 est complémentaire et cohérent. Même si les frissons se font moins ressentir, l’ambiance apporte toujours sa dose de stress qui fait de cette duologie d’horreur, l’une des meilleures sorties de ces dernières années.
Ma note :
La bande-annonce :
0 petit(s) mot(s) - Laisser un commentaire:
Enregistrer un commentaire