Et dire que nous avons cru ne jamais arriver à Cascais !
Petit rappel, nous quittons Sintra à bord du bus 403 qui met environ 1h pour rejoindre la côte Atlantique et plus précisément Cascais.
Sauf qu'au beau milieu du trajet, un vieux monsieur, béret et petite canne, s'installe dans le bus.
Rien d'anormal au premier abord... sauf que le chauffeur refuse de conduire et commence à se disputer avec ce passager. La raison ? L'odeur qu'il dégage !
Et c'est vrai, que la puanteur commence à se propager heurtant nos pauvres narines.
Pour faire bref, le monsieur n'a pas voulu bouger, nous avons bloqué l'unique rue d'un village pendant 20 minutes, ils ont essayé de lui faire quitter le bus par la force, rien ce monsieur refuse de partir! Finalement, nous repartons pour nous arrêter sur le bas-côté quelques mètres plus loin et attendons tranquillement la police qui viendra résoudre ce problème en deux temps, trois mouvements.
Bon, plus d'une demie heure de perdue, sans compter que quelques kilomètres plus loin nous évitons la collision dans une petite rue sinueuse. Sauf que la conductrice n'arrive plus à reculer son véhicule, chose que fera le chauffeur du bus pour l'aider.
Avec 1h de retard, nous arrivons enfin à Cascais, jolie petite ville balnéaire située sur la côte atlantique.
Premier arrêt : la plage de sable blanc! Par contre, il a beau faire 35°C, seul mes pieds se seront risqués dans l'eau glacée...
Il n'y a pas beaucoup de monde mais les rues du centre-ville sont quand même animées .
Attention, il y a une seconde plage à Cascais mais la baignade est interdite pour cause de pêche !
Nous étions sur le point de partir quand Monsieur repère une affiche indiquant un Megastore Hello Kitty. Ni une ni deux, nous trouvons le magasin qui ferme dans seulement 10 minutes. La vendeuse nous accueille gentiment avec un biscuit à l'effigie du chat japonais.
Le magasin est très complet avec notamment des épisodes Hello Kitty qui passent en boucle mais les prix, eux, ne sont pas très doux !
A noter, que les petites portugaises ont de la chance puisqu'elles peuvent fêter leur anniversaire dans le magasin devant dans une salle spéciale !
Petit rappel, nous quittons Sintra à bord du bus 403 qui met environ 1h pour rejoindre la côte Atlantique et plus précisément Cascais.
Sauf qu'au beau milieu du trajet, un vieux monsieur, béret et petite canne, s'installe dans le bus.
Rien d'anormal au premier abord... sauf que le chauffeur refuse de conduire et commence à se disputer avec ce passager. La raison ? L'odeur qu'il dégage !
Et c'est vrai, que la puanteur commence à se propager heurtant nos pauvres narines.
Pour faire bref, le monsieur n'a pas voulu bouger, nous avons bloqué l'unique rue d'un village pendant 20 minutes, ils ont essayé de lui faire quitter le bus par la force, rien ce monsieur refuse de partir! Finalement, nous repartons pour nous arrêter sur le bas-côté quelques mètres plus loin et attendons tranquillement la police qui viendra résoudre ce problème en deux temps, trois mouvements.
Bon, plus d'une demie heure de perdue, sans compter que quelques kilomètres plus loin nous évitons la collision dans une petite rue sinueuse. Sauf que la conductrice n'arrive plus à reculer son véhicule, chose que fera le chauffeur du bus pour l'aider.
Avec 1h de retard, nous arrivons enfin à Cascais, jolie petite ville balnéaire située sur la côte atlantique.
Premier arrêt : la plage de sable blanc! Par contre, il a beau faire 35°C, seul mes pieds se seront risqués dans l'eau glacée...
Il n'y a pas beaucoup de monde mais les rues du centre-ville sont quand même animées .
Attention, il y a une seconde plage à Cascais mais la baignade est interdite pour cause de pêche !
Nous mourrons de faim et trouvons nombre de bars et de petites sandwicheries dont l'une d'entre elles qui sert de délicieuses sardines grillées (4,95 euros).
Nous nous rendons ensuite à la gare pour prendre le train. A un arrêt de là, nous descendons à Estoril. Ville balnéaire plus chic que Cascais mais située seulement à quelques kilomètres.
Ici, la plage est envahie de bars et de transats bien qu'il n'y ait quasiment personne sur la plage à cette période de l'année.
Ici, la plage est envahie de bars et de transats bien qu'il n'y ait quasiment personne sur la plage à cette période de l'année.
L'attraction principale de la ville est le Casino Estoril, THE casino qui a inspiré Ian Fleming, l'auteur de James Bond, pour "Casino Royale". Nous n'y sommes pas entrés mais visiblement il a été racheté par un magnat chinois et est devenu très high-tech.
Nous étions sur le point de partir quand Monsieur repère une affiche indiquant un Megastore Hello Kitty. Ni une ni deux, nous trouvons le magasin qui ferme dans seulement 10 minutes. La vendeuse nous accueille gentiment avec un biscuit à l'effigie du chat japonais.
Le magasin est très complet avec notamment des épisodes Hello Kitty qui passent en boucle mais les prix, eux, ne sont pas très doux !
A noter, que les petites portugaises ont de la chance puisqu'elles peuvent fêter leur anniversaire dans le magasin devant dans une salle spéciale !
Une fois le tour de la boutique effectué, nous prenons le train pour retourner à Lisbonne.
Après une pause à l'hôtel et quelques mojitos dans des bars du Bairro alto, nous allons manger au restaurant 1 de Maio.
Ici, mis à part quelques plats, vous pourrez y trouver toute les spécialités de la cuisine portugaise et notamment le porc à l'alentejana : du porc cuisiné à l'étouffée avec de la coriandre et servi avec des palourdes. Un régal pour une addition peu salée (environ 8 euros le plat très copieux).
C'est le ventre bien (trop) rempli que nous allons nous coucher...
Après une pause à l'hôtel et quelques mojitos dans des bars du Bairro alto, nous allons manger au restaurant 1 de Maio.
Ici, mis à part quelques plats, vous pourrez y trouver toute les spécialités de la cuisine portugaise et notamment le porc à l'alentejana : du porc cuisiné à l'étouffée avec de la coriandre et servi avec des palourdes. Un régal pour une addition peu salée (environ 8 euros le plat très copieux).
C'est le ventre bien (trop) rempli que nous allons nous coucher...
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