A Budapest, il est plus que facile de trouver un endroit où prendre son petit-déjeuner.
Nous optons ce matin-là pour la boulangerie/patisserie Jegbufé à côté du metro Ferenciek Tere. Après avoir commandé directement à la caisse puis avoir remis notre ticket à l’une des employés, nous récupérons nos deux gateaux avant d’aller récupérer nos boissons à l’autre comptoir. Un petit-déjeuner bien gourmand…
La journée s’annonce pluvieuse, nous décidons donc de visiter le Musée de la Terreur ou Terror Haza. Cette maison porte bien son nom puisque le bâtiment situé au 60 avenue Andrassy a successivement été le quartier général du parti nazi hongrois puis de la police politique communiste.
Il ne faut pas l’oublier mais la Hongrie n’est “libre” que depuis 1989 puisqu’à partir de 1944, elle a été occupée par les allemands puis les soviétiques. A travers une excellente scénographie, le musée retrace cette double occupation et les conséquences qu’elle a eu pour la population, victimes de ces régimes dictatoriaux. Le parcours se termine par la visite d’une partie des cachots au sous-sol où nombre de hongrois sont morts, torturés. Un musée émouvant et très intéressant pour mieux comprendre ce pays.
Après plus de 2h de visite, nous marchons à la recherche d’un resto pour le midi. Au passage, nous faisons un petit détour pour voir le musée hongrois des arts décoratifs avec son style art nouveau et sa toiture en céramiques de Zsolnay.
Nous nous arrêtons manger dans un restaurant à tapas, le Pata Negra.
Au menu, pan con tomate, assiette de charcuterie et de fromage, pimientos de Padrón grillés, patatas brava et virgin mojito.
Après cette pause espagnole, nous partons à l’assaut du Mont Gellert-Hegy.
A côté de la colline de Buda, le mont Gellert qui culmine à 140 mètres, accueille la citadelle.
A vrai dire, il n’y a pas grand-chose à y faire mais plutôt à y voir, son panorama est d’ailleurs inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco. Une vue immanquable sur Budapest et le Danube :
La deuxième chose à y voir est le monument de la libération, également appelé la statue de la liberté. Elle a été érigée en 1947 pour commémorer la fin de la dictature nazie et la libération par les soviétiques…
Nous redescendons à pied par les chemins boisés, puis traversons le pont non loin de la statue en l’honneur de l’impératrice Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach, plus connue sous son surnom de Sissi. Le soleil montrant enfin le bout de son nez, nous en profitons pour longer le Duna Korzo, la promenade le long du Danube.
Tout le long, on y trouve quelques artistes de rue et des petits stands vendant notamment des strudel, miam !
Après un bon moment de marche, nous arrivons devant l’œuvre de Gyula Pauer, les chaussures au bord du Danube. Ces sculptures en fer de chaussures d’hommes, de femmes et d’enfants servent de mémorial aux victimes des Croix fléchées. En 1944, ce parti fasciste et antisémite alignait des juifs du ghetto face au Danube, leur demandait de retirer leurs chaussures et les fusillait un à un…
La promenade se termine au niveau du Parlement…
Nous continuons à nous balader dans Pest jusqu’à l’heure de manger.
Nous découvrons le restaurant Kiskakkuk, une brasserie à l’ancienne à la carte 100% cuisine hongroise. Un joli cadre et un menu alléchant aux prix plus que corrects.
Tout le repas sera une succession de plaisirs gustatifs :
- en entrée : goulash et soupe à la prune
- en plat : dinde fourrée aux champignons et courgettes servie avec une sauce au fromage, des croquettes de pommes de terre et du riz jasmin + poulet gratiné et mariné dans une sauce au yaourt et à l’ail servi avec un risotto de légumes
- en dessert : gâteau au chocolat dans une sauce à l’orange et crêpe hongroise à la pomme dans une sauce glace vanille
Nous optons ce matin-là pour la boulangerie/patisserie Jegbufé à côté du metro Ferenciek Tere. Après avoir commandé directement à la caisse puis avoir remis notre ticket à l’une des employés, nous récupérons nos deux gateaux avant d’aller récupérer nos boissons à l’autre comptoir. Un petit-déjeuner bien gourmand…
La journée s’annonce pluvieuse, nous décidons donc de visiter le Musée de la Terreur ou Terror Haza. Cette maison porte bien son nom puisque le bâtiment situé au 60 avenue Andrassy a successivement été le quartier général du parti nazi hongrois puis de la police politique communiste.
Il ne faut pas l’oublier mais la Hongrie n’est “libre” que depuis 1989 puisqu’à partir de 1944, elle a été occupée par les allemands puis les soviétiques. A travers une excellente scénographie, le musée retrace cette double occupation et les conséquences qu’elle a eu pour la population, victimes de ces régimes dictatoriaux. Le parcours se termine par la visite d’une partie des cachots au sous-sol où nombre de hongrois sont morts, torturés. Un musée émouvant et très intéressant pour mieux comprendre ce pays.
Après plus de 2h de visite, nous marchons à la recherche d’un resto pour le midi. Au passage, nous faisons un petit détour pour voir le musée hongrois des arts décoratifs avec son style art nouveau et sa toiture en céramiques de Zsolnay.
Nous nous arrêtons manger dans un restaurant à tapas, le Pata Negra.
Au menu, pan con tomate, assiette de charcuterie et de fromage, pimientos de Padrón grillés, patatas brava et virgin mojito.
Après cette pause espagnole, nous partons à l’assaut du Mont Gellert-Hegy.
A côté de la colline de Buda, le mont Gellert qui culmine à 140 mètres, accueille la citadelle.
A vrai dire, il n’y a pas grand-chose à y faire mais plutôt à y voir, son panorama est d’ailleurs inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco. Une vue immanquable sur Budapest et le Danube :
La deuxième chose à y voir est le monument de la libération, également appelé la statue de la liberté. Elle a été érigée en 1947 pour commémorer la fin de la dictature nazie et la libération par les soviétiques…
Nous redescendons à pied par les chemins boisés, puis traversons le pont non loin de la statue en l’honneur de l’impératrice Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach, plus connue sous son surnom de Sissi. Le soleil montrant enfin le bout de son nez, nous en profitons pour longer le Duna Korzo, la promenade le long du Danube.
Tout le long, on y trouve quelques artistes de rue et des petits stands vendant notamment des strudel, miam !
Après un bon moment de marche, nous arrivons devant l’œuvre de Gyula Pauer, les chaussures au bord du Danube. Ces sculptures en fer de chaussures d’hommes, de femmes et d’enfants servent de mémorial aux victimes des Croix fléchées. En 1944, ce parti fasciste et antisémite alignait des juifs du ghetto face au Danube, leur demandait de retirer leurs chaussures et les fusillait un à un…
La promenade se termine au niveau du Parlement…
Nous continuons à nous balader dans Pest jusqu’à l’heure de manger.
Nous découvrons le restaurant Kiskakkuk, une brasserie à l’ancienne à la carte 100% cuisine hongroise. Un joli cadre et un menu alléchant aux prix plus que corrects.
Tout le repas sera une succession de plaisirs gustatifs :
- en entrée : goulash et soupe à la prune
- en plat : dinde fourrée aux champignons et courgettes servie avec une sauce au fromage, des croquettes de pommes de terre et du riz jasmin + poulet gratiné et mariné dans une sauce au yaourt et à l’ail servi avec un risotto de légumes
- en dessert : gâteau au chocolat dans une sauce à l’orange et crêpe hongroise à la pomme dans une sauce glace vanille
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