C’est avec un peu de regret que nous quittons les îles Perhentian à bord du premier bateau du matin. A Kuala Besut, nous nous rendons à l’agence de voyage où nous devons récupérer nos billets de bus pour Singapour. Mauvaise surprise, la personne s’est trompée de gare routière et finalement nous nous retrouvons sans aucun billet…
Nous essayons de partager un taxi pour Kota Bharu mais tous les chauffeurs refusent – on était bien mieux à la plage ! Nous nous faisons déposer à l’hôtel Flora Place.
L’accueil est très chaleureux et la petite chambre nous suffit largement. Après une petite pause, nous récupérons un plan de la ville au comptoir et partons à pied à la gare routière.
A la gare, nous faisons le tour des guichets, malheureusement tous les bus en direction de Singapour sont complets jusqu’à la fin de la semaine prochaine ! Finalement, nous achetons des billets pour le bus de demain soir pour Malacca. Nous verrons ensuite sur place pour rejoindre Singapour.
Nous nous rendons ensuite à l’office de tourisme où nous rencontrons Roselan, le directeur du centre culturel, qui nous propose un cours de cuisine chez lui le soir même. Le prix est très élevé mais nous n’avons rien de spécial à faire en ce vendredi, nous acceptons donc sa proposition.
Le vendredi est un jour particulier à Kota Bharu : cette ville se situant dans l’état le plus islamiste du pays, tout est fermé le vendredi, un peu comme le dimanche chez nous. Il n’y a donc pas grand-chose à faire… Heureusement, le vendredi c’est aussi le jour où il y a le concours des chants d’oiseaux !
Nous arrivons un peu trop tard mais beaucoup de cages sont encore suspendus le long de quatre barres et les oiseaux donnent encore de la voix. Les cages sont toutes plus belles les unes que les autres, certaines sont même incrustées de nacre. Lors de ce concours, les bulbuls sont notés selon plusieurs critères : la durée et l’harmonie de leur chant mais également leur allure.
Les propriétaires se sont tous réunis pour comparer les prestations de leurs oiseaux – un concours qu’ils prennent très au sérieux…
Il est temps d’aller manger un morceau mais nous sommes déjà en début d’après-midi et en ce jour de prière collective, nous ne trouvons nulle part où se restaurer (même le McDo). Finalement, nous achetons quelques cochonneries au 7-Eleven et rentrons faire une pause à l’hôtel.
En fin de journée, Roselan vient nous chercher directement en taxi à l’hôtel. Avant d’aller chez lui cuisiner, nous choisissons la composition de notre dîner et partons au marché. C’est toujours un plaisir d’aller au marché : assister aux échanges entre locaux, les voir en pleine négociation, être assailli par les odeurs et les couleurs, découvrir des légumes et épices…
Nos paniers remplis de victuailles (bananes, patates douces, crevettes, poulet, chou chinois…), nous remontons à bord du taxi direction la maison de Roselan, située dans un quartier résidentiel à 15/20 minutes du centre de Kota Bharu.
Une fois arrivés dans sa petite maison en bois, un peu délabrée, nous nous sentons un peu comme des intrus mais il fait tout son maximum pour nous mettre à l’aise.
Après une petite pause dans son jardin (qui donne sur un golf luxueux), nous installons tous les ingrédients et ustensiles sur la table du salon (la cuisine étant trop petite pour deux personnes).
Au menu de ce soir : crevettes au curry rouge, poulet à la sauce soja, légumes sautés et bubur chacha (patates douces et bananes cuites dans du lait de coco).
Roselan nous donne des instructions très simples – nous cuisinons avec une déconcertante facilité ces bons petits plats en suivant ses conseils.
Cependant, je ne sais pas si c’est à cause de ces plats un peu trop simples ou du fait que nous ayons mangé seuls dans le salon (pendant qu’il priait) mais nous sommes un peu déçus…
Bien sûr Roselan nous a même donné un petit sac de provisions à ramener en France mais cela était peut-être un peu trop « bâclé » surtout pour le prix élevé.
Enfin, nous ne nous plaignons pas trop avec nos ventres bien rebondis (après avoir repris 3 fois du bubur chacha, une vraie tuerie).
Le chauffeur nous redépose à notre hôtel mais nous avons encore un peu envie de sortir, nous nous rendons donc à pied au night market de Kota Bharu. Nous nous attendions à quelque chose de similaire avec la Thaïlande mais ici les marchés de nuit sont beaucoup plus petits, avec moins de variétés de stands. Nous faisons finalement le tour en moins de 10 dix minutes et partons nous coucher…
Nous essayons de partager un taxi pour Kota Bharu mais tous les chauffeurs refusent – on était bien mieux à la plage ! Nous nous faisons déposer à l’hôtel Flora Place.
L’accueil est très chaleureux et la petite chambre nous suffit largement. Après une petite pause, nous récupérons un plan de la ville au comptoir et partons à pied à la gare routière.
A la gare, nous faisons le tour des guichets, malheureusement tous les bus en direction de Singapour sont complets jusqu’à la fin de la semaine prochaine ! Finalement, nous achetons des billets pour le bus de demain soir pour Malacca. Nous verrons ensuite sur place pour rejoindre Singapour.
Nous nous rendons ensuite à l’office de tourisme où nous rencontrons Roselan, le directeur du centre culturel, qui nous propose un cours de cuisine chez lui le soir même. Le prix est très élevé mais nous n’avons rien de spécial à faire en ce vendredi, nous acceptons donc sa proposition.
Le vendredi est un jour particulier à Kota Bharu : cette ville se situant dans l’état le plus islamiste du pays, tout est fermé le vendredi, un peu comme le dimanche chez nous. Il n’y a donc pas grand-chose à faire… Heureusement, le vendredi c’est aussi le jour où il y a le concours des chants d’oiseaux !
Nous arrivons un peu trop tard mais beaucoup de cages sont encore suspendus le long de quatre barres et les oiseaux donnent encore de la voix. Les cages sont toutes plus belles les unes que les autres, certaines sont même incrustées de nacre. Lors de ce concours, les bulbuls sont notés selon plusieurs critères : la durée et l’harmonie de leur chant mais également leur allure.
Les propriétaires se sont tous réunis pour comparer les prestations de leurs oiseaux – un concours qu’ils prennent très au sérieux…
Il est temps d’aller manger un morceau mais nous sommes déjà en début d’après-midi et en ce jour de prière collective, nous ne trouvons nulle part où se restaurer (même le McDo). Finalement, nous achetons quelques cochonneries au 7-Eleven et rentrons faire une pause à l’hôtel.
En fin de journée, Roselan vient nous chercher directement en taxi à l’hôtel. Avant d’aller chez lui cuisiner, nous choisissons la composition de notre dîner et partons au marché. C’est toujours un plaisir d’aller au marché : assister aux échanges entre locaux, les voir en pleine négociation, être assailli par les odeurs et les couleurs, découvrir des légumes et épices…
Nos paniers remplis de victuailles (bananes, patates douces, crevettes, poulet, chou chinois…), nous remontons à bord du taxi direction la maison de Roselan, située dans un quartier résidentiel à 15/20 minutes du centre de Kota Bharu.
Une fois arrivés dans sa petite maison en bois, un peu délabrée, nous nous sentons un peu comme des intrus mais il fait tout son maximum pour nous mettre à l’aise.
Après une petite pause dans son jardin (qui donne sur un golf luxueux), nous installons tous les ingrédients et ustensiles sur la table du salon (la cuisine étant trop petite pour deux personnes).
Au menu de ce soir : crevettes au curry rouge, poulet à la sauce soja, légumes sautés et bubur chacha (patates douces et bananes cuites dans du lait de coco).
Roselan nous donne des instructions très simples – nous cuisinons avec une déconcertante facilité ces bons petits plats en suivant ses conseils.
Cependant, je ne sais pas si c’est à cause de ces plats un peu trop simples ou du fait que nous ayons mangé seuls dans le salon (pendant qu’il priait) mais nous sommes un peu déçus…
Bien sûr Roselan nous a même donné un petit sac de provisions à ramener en France mais cela était peut-être un peu trop « bâclé » surtout pour le prix élevé.
Enfin, nous ne nous plaignons pas trop avec nos ventres bien rebondis (après avoir repris 3 fois du bubur chacha, une vraie tuerie).
Le chauffeur nous redépose à notre hôtel mais nous avons encore un peu envie de sortir, nous nous rendons donc à pied au night market de Kota Bharu. Nous nous attendions à quelque chose de similaire avec la Thaïlande mais ici les marchés de nuit sont beaucoup plus petits, avec moins de variétés de stands. Nous faisons finalement le tour en moins de 10 dix minutes et partons nous coucher…
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