Lundi soir, 20h, UGC ciné Cité Bercy : Avant-première du film Une semaine sur deux (et la moitié des vacances scolaires) en présence de l’équipe du film.
C’est dans une salle comble, un peu en retard et le sourire aux lèvres qu’Ivan Calbérac vient présenter son nouveau film « Une semaine sur deux (et la moitié des vacances scolaires) » en compagnie de Bernard Campan, Bertille Chabert et Jean-Baptiste Fonck, Mathilde Seigner étant encore retenue pour une interview. Elle rejoindra toute cette petite troupe à la fin du film pour un petit jeu de questions/réponses bien sympathique.
Synopsis : Léa, douze ans, aurait aimé vivre dans une autre famille...Une famille où l'on ne se sépare pas, où l'on n'a pas deux maisons... une famille où sa mère la comprendrait mieux, où son père aurait un peu plus les pieds sur Terre et où son petit frère écolo ne lui reprocherait pas son temps passé sous la douche... Cette année-là, Léa entre en cinquième. Tandis que son père et sa mère tentent de reconstruire leur vie, elle va connaître son premier amour…
J’avoue que le synopsis, l’affiche et la bande-annonce ne donnent pas forcément envie de voir le film. Et pourtant ce serait manquer une belle surprise du cinéma français dans le genre histoire de famille.
Sous le regard de Léa, finissant son enfance et débutant son adolescence, on découvre les ravages d’un divorce aussi bien sur les enfants que sur les parents tout en s’attardant sur les relations sentimentales et conflictuelles liées à cette situation.
On pourrait croire qu’il s’agit d’un drame familial mais au contraire, on est face à une comédie. L’humour est omniprésent que ce soit dans les répliques brutes de la mère, les piques de la fille, les slogans écologiques du petit ou le ridicule du père (et ses séances Free Hugs).
Sans trop tomber dans le cucu la praline, les sentiments sont tous exprimés avec une sincérité et une simplicité, impossible alors de ne pas s’identifier ne serait-ce qu’un petit peu à un personnage tous aussi attachants qu’ils soient.
Ok, le film fait un peu sociologie de bas étage avec l’étude du divorce dans un milieu social plutôt aisé, une jeunesse un peu trop dorée (mais beaucoup moins que dans Lol et sans l’effet pétasse) et des clichés inévitables. Cependant, j’ai trouvé qu’il s’agissait d’un bon divertissement emprunt de vérités dans une société française où environ 110 000 divorces sont prononcés chaque année.
Ma note :
C’est dans une salle comble, un peu en retard et le sourire aux lèvres qu’Ivan Calbérac vient présenter son nouveau film « Une semaine sur deux (et la moitié des vacances scolaires) » en compagnie de Bernard Campan, Bertille Chabert et Jean-Baptiste Fonck, Mathilde Seigner étant encore retenue pour une interview. Elle rejoindra toute cette petite troupe à la fin du film pour un petit jeu de questions/réponses bien sympathique.
Synopsis : Léa, douze ans, aurait aimé vivre dans une autre famille...Une famille où l'on ne se sépare pas, où l'on n'a pas deux maisons... une famille où sa mère la comprendrait mieux, où son père aurait un peu plus les pieds sur Terre et où son petit frère écolo ne lui reprocherait pas son temps passé sous la douche... Cette année-là, Léa entre en cinquième. Tandis que son père et sa mère tentent de reconstruire leur vie, elle va connaître son premier amour…
J’avoue que le synopsis, l’affiche et la bande-annonce ne donnent pas forcément envie de voir le film. Et pourtant ce serait manquer une belle surprise du cinéma français dans le genre histoire de famille.
Sous le regard de Léa, finissant son enfance et débutant son adolescence, on découvre les ravages d’un divorce aussi bien sur les enfants que sur les parents tout en s’attardant sur les relations sentimentales et conflictuelles liées à cette situation.
On pourrait croire qu’il s’agit d’un drame familial mais au contraire, on est face à une comédie. L’humour est omniprésent que ce soit dans les répliques brutes de la mère, les piques de la fille, les slogans écologiques du petit ou le ridicule du père (et ses séances Free Hugs).
Sans trop tomber dans le cucu la praline, les sentiments sont tous exprimés avec une sincérité et une simplicité, impossible alors de ne pas s’identifier ne serait-ce qu’un petit peu à un personnage tous aussi attachants qu’ils soient.
Ok, le film fait un peu sociologie de bas étage avec l’étude du divorce dans un milieu social plutôt aisé, une jeunesse un peu trop dorée (mais beaucoup moins que dans Lol et sans l’effet pétasse) et des clichés inévitables. Cependant, j’ai trouvé qu’il s’agissait d’un bon divertissement emprunt de vérités dans une société française où environ 110 000 divorces sont prononcés chaque année.
Ma note :
3 petit(s) mot(s) - Laisser un commentaire:
ce film été vraiment bien émouvant et aussi avec une touche d'humour
Ce film est vraiment excellent :)
J'aimerai bien connaitre la chanson de la bande annonce Svp :D
Merci , &' regarder ce film !!
Pour info, la musique de la bande-annonce c'est Venus avec le titre "Beautiful day" issu de l'album "Vertigone".
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