Deuxième matinée sur l'île montagneuse de Naxos...
Décidément, on s'habitue vite à se réveiller avec le bruit des vagues !
Après un tour rapide à l'épicerie du coin, nous profitons de notre balcon pour prendre notre petit-déjeuner (très équilibré).
Ce matin, nous avons décidé d'aller à Apollonas, un village de pêcheur situé à 48 km de Chora. Bien que Naxos soit l'une des plus grandes îles des Cyclades, au niveau des routes, il n'y en a pas 30 - d'ailleurs il n'y a quasiment qu'une route principale (c'est à dire goudronnée) pour se rendre à Αππολοωας.
Nous longerons donc la côte nord de l'île...
Nous faisons un premier arrêt à Galini, un charmant petit village.
Il n'y a pas un bruit dans ce bout de campagne, mis à part un âne qui braira pendant toute notre ballade.
Nous goûtons aux joies de la route naxienne: peu de signalisation et de barrières de protection sur le bord de la route, locaux avec leurs chèvres à l'arrière du véhicule n'hésitant pas à vous doubler dans des virages sans visibilité et bien sûr une route de montagne - ça monte, ça descend, ça remonte, ça redescend...
Heureusement, le plaisir de rouler dans des paysages aussi splendides compensent !
A quelques kilomètres d'Appolonas, nous nous arrêtons de justesse sur le bas-côté après avoir aperçu le panneau indiquant l'escalier à monter pour aller voir le kouros.
Un kouros est une statue en pierre ou en marbre représentant un jeune homme.
Celui d'Apollonas a la particularité d'avoir été abandonné tel quel à l'ancienne entrée d'une carrière de marbre. Probablement dédié à Dyonisos, cette statue mesure pas moins de 10m45 de long !
Nous arrivons tranquillement à Apollonas, cette ville à la vocation de devenir une station balnéaire. Cependant, en dehors de l'agitation estivale, la ville est bien calme. Bien que la plage ne soit pas de sable fin mais de galets (c'est dur la vie), nous n'échappons pas à la baignade.
Et nagerfaire les idiots dans l'eau, ça creuse ! De toute façon, le bord de plage est envahi par des restaurants qui se ressemblent tous.
Nous finirons donc attabler devant une assiette de souvlaki (brochettes de porc) et une autre de boulettes de viande maison/gros haricots. Ce n'est pas de la grande cuisine mais ça a le mérite d'être bon !
Et comme dans la majorité des restaurants ou tavernes que nous fréquenterons, un chat est resté assis à côté de notre table pendant tout le repas.
La suite au prochain épisode...
Décidément, on s'habitue vite à se réveiller avec le bruit des vagues !
Après un tour rapide à l'épicerie du coin, nous profitons de notre balcon pour prendre notre petit-déjeuner (très équilibré).
Ce matin, nous avons décidé d'aller à Apollonas, un village de pêcheur situé à 48 km de Chora. Bien que Naxos soit l'une des plus grandes îles des Cyclades, au niveau des routes, il n'y en a pas 30 - d'ailleurs il n'y a quasiment qu'une route principale (c'est à dire goudronnée) pour se rendre à Αππολοωας.
Nous longerons donc la côte nord de l'île...
Nous faisons un premier arrêt à Galini, un charmant petit village.
Il n'y a pas un bruit dans ce bout de campagne, mis à part un âne qui braira pendant toute notre ballade.
Nous goûtons aux joies de la route naxienne: peu de signalisation et de barrières de protection sur le bord de la route, locaux avec leurs chèvres à l'arrière du véhicule n'hésitant pas à vous doubler dans des virages sans visibilité et bien sûr une route de montagne - ça monte, ça descend, ça remonte, ça redescend...
Heureusement, le plaisir de rouler dans des paysages aussi splendides compensent !
A quelques kilomètres d'Appolonas, nous nous arrêtons de justesse sur le bas-côté après avoir aperçu le panneau indiquant l'escalier à monter pour aller voir le kouros.
Un kouros est une statue en pierre ou en marbre représentant un jeune homme.
Celui d'Apollonas a la particularité d'avoir été abandonné tel quel à l'ancienne entrée d'une carrière de marbre. Probablement dédié à Dyonisos, cette statue mesure pas moins de 10m45 de long !
Nous arrivons tranquillement à Apollonas, cette ville à la vocation de devenir une station balnéaire. Cependant, en dehors de l'agitation estivale, la ville est bien calme. Bien que la plage ne soit pas de sable fin mais de galets (c'est dur la vie), nous n'échappons pas à la baignade.
Et nager
Nous finirons donc attabler devant une assiette de souvlaki (brochettes de porc) et une autre de boulettes de viande maison/gros haricots. Ce n'est pas de la grande cuisine mais ça a le mérite d'être bon !
Et comme dans la majorité des restaurants ou tavernes que nous fréquenterons, un chat est resté assis à côté de notre table pendant tout le repas.
La suite au prochain épisode...
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