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Il y a un mois jour par jour, nous étions en plein vol direction la Thaïlande pour notre premier voyage en Asie…
11h de vol entre Paris et Bangkok en vol direct avec la compagnie Thai Airways et ses charmantes hôtesses en tenue traditionnelle, deux repas servis, 2 films vus, 6h de sommeil et à l’arrivée 6h de décalage horaire.
Et c’est parti pour 24 jours dans le pays des hommes libres (Muang Thai) – mon report risque donc de prendre un peu de temps !
Arrivés à l’aéroport Suvarnabhumi de Bangkok, nous n’attendons qu’un quart d’heure pour le contrôle des passeports – la chance nous a donc sourit puisque plusieurs personnes rencontrées durant notre voyage ont fait la queue pendant plus d’1h30 !
Après avoir récupéré nos bagages, nous descendons vers le comptoir officiel des taxis (de toutes les couleurs), un luxe que l’on peut facilement se permettre, le prix de la course est fixe : 400 baths soit 9 euros (taxe aéroport comprise). Notre chauffeur nous dépose dans une rue et nous indique un petit escalier à emprunter pour accéder à l’hôtel situé un peu plus loin sur la rive : le Lamphu Tree House – à ne pas confondre avec le Lamphu House de Khao San Road.
Nous avons à peine atteint le comptoir pour le check-in qu’une serveuse nous apporte un délicieux breuvage. Quelques minutes plus tard, nous prenons possession de la chambre, spacieuse et jolie avec en prime un balcon et des bouteilles d’eau à disposition dans le minibar. Il est temps de partir à la découverte de la cité des anges !
Nous décidons d’aller voir un temple non loin de l’hôtel – enfin qui semblait plus près sur la carte…
Difficile de visiter la ville à pied : les distances sont importantes, les piétons ne sont pas rois, la pollution… Cela ne nous empêche pas d’arriver à destination : le Wat (temple) Intharawihan.
Sa particularité ? Un bouddha debout de 32 mètres de haut et de 10 mètres de large. Les fidèles se pressent pour déposer des offrandes (bougies, encens et fleurs) à ses pieds. Nous sommes impressionnés par la beauté des temples et notamment par les dorures de la toiture et pourtant ce n’en est qu’un parmi les 300 temples de Bangkok !
Nous croisons nos premiers stands de street food autour desquelles rôdent quelques chats chapardeurs. Au fil de nos errances un peu au hasard, nous arrivons dans le quartier de Dusit et de son parc qui recèle plusieurs trésors dont le palais Vimanmek tout en teck doré, l’Abhisek Dusit throne hall et l’Ananda Samakhom throne hall ainsi que le zoo.
Cependant, nous devrons nous contenter d’une vue extérieure car le parc ferme très tôt ses portes.
La chaleur est bien présente et il est plus qu’agréable de pouvoir acheter des boissons fraîches à de petits vendeurs de rue assis près de leurs bacs de glaçons sous lesquels se cachent les bouteilles dont celle de lait de soja, yum !
Après s’être retrouvés plusieurs fois nez à nez avec des autels à la gloire du roi Bhumidol Adulyadej – il y en a partout dans la ville – nous arrivons au temple de marbre, le Wat Benchamabophit.
Trois couleurs dominent le paysage : le blanc du marbre des murs, le rouge des toitures et les dorures des éléments décoratifs. Le temple possède également 53 bouddhas de bronze.
Derrière, nous sommes surpris d’apercevoir les résidences des bonzes, certains sont d’ailleurs en train d’étendre leurs tuniques oranges fraîchement lavées sur un fil tandis que d’autres font une petite partie de football…
La nuit tombe rapidement et au détour d’une rue, sans le vouloir ni le comprendre, nous nous retrouvons au cœur d’une manifestation des «chemises jaunes » devant le siège du gouvernement thaïlandais. Il s’agit plus d’une occupation que d’une manifestation avec une scène sur laquelle se succèdent des discours politiques, des distributions gratuites de repas, des tentes pour dormir, toilettes/douches…
Nous préférons nous éloigner car même si l’ambiance est bonne enfant, soldats armés et barbelés devant le gouvernement nous refroidissent.
La faim se fait sentir et quoi de mieux qu’un pad thaï (nouilles sautées) pour commencer notre voyage côté culinaire. Nous nous rendons dans le bouiboui réputé comme le meilleur restaurant de pad thai de Bangkok : le Thip Samai. Nous prenons place dans une salle aux murs jaunis par la crasse, sur le trottoir les flammes jaillissent sous les woks qui crépitent, le spectacle ouvre l’appétit et quelques minutes plus tard, l’assiette est servie. C’est un bon pad thaï mais on peut faire mieux ! Niveau prix : comptez 40 baths pour un plat et une boisson soit 0,90 centimes.
Nous rentrons tranquillement à pied jusqu’à l’hôtel, faisons un petit arrêt sur un stand pour acheter quelques brochettes de viande à la sauce épicée puis prenons une dernière boisson dont un shake à la pastèque délicieux (shake= fruits + glaçons + sucre mixés) près de la piscine de l'hôtel avant d'aller rejoindre Morphée.
La suite au prochain épisode…
11h de vol entre Paris et Bangkok en vol direct avec la compagnie Thai Airways et ses charmantes hôtesses en tenue traditionnelle, deux repas servis, 2 films vus, 6h de sommeil et à l’arrivée 6h de décalage horaire.
Et c’est parti pour 24 jours dans le pays des hommes libres (Muang Thai) – mon report risque donc de prendre un peu de temps !
Arrivés à l’aéroport Suvarnabhumi de Bangkok, nous n’attendons qu’un quart d’heure pour le contrôle des passeports – la chance nous a donc sourit puisque plusieurs personnes rencontrées durant notre voyage ont fait la queue pendant plus d’1h30 !
Après avoir récupéré nos bagages, nous descendons vers le comptoir officiel des taxis (de toutes les couleurs), un luxe que l’on peut facilement se permettre, le prix de la course est fixe : 400 baths soit 9 euros (taxe aéroport comprise). Notre chauffeur nous dépose dans une rue et nous indique un petit escalier à emprunter pour accéder à l’hôtel situé un peu plus loin sur la rive : le Lamphu Tree House – à ne pas confondre avec le Lamphu House de Khao San Road.
Nous avons à peine atteint le comptoir pour le check-in qu’une serveuse nous apporte un délicieux breuvage. Quelques minutes plus tard, nous prenons possession de la chambre, spacieuse et jolie avec en prime un balcon et des bouteilles d’eau à disposition dans le minibar. Il est temps de partir à la découverte de la cité des anges !
Nous décidons d’aller voir un temple non loin de l’hôtel – enfin qui semblait plus près sur la carte…
Difficile de visiter la ville à pied : les distances sont importantes, les piétons ne sont pas rois, la pollution… Cela ne nous empêche pas d’arriver à destination : le Wat (temple) Intharawihan.
Sa particularité ? Un bouddha debout de 32 mètres de haut et de 10 mètres de large. Les fidèles se pressent pour déposer des offrandes (bougies, encens et fleurs) à ses pieds. Nous sommes impressionnés par la beauté des temples et notamment par les dorures de la toiture et pourtant ce n’en est qu’un parmi les 300 temples de Bangkok !
Nous croisons nos premiers stands de street food autour desquelles rôdent quelques chats chapardeurs. Au fil de nos errances un peu au hasard, nous arrivons dans le quartier de Dusit et de son parc qui recèle plusieurs trésors dont le palais Vimanmek tout en teck doré, l’Abhisek Dusit throne hall et l’Ananda Samakhom throne hall ainsi que le zoo.
Cependant, nous devrons nous contenter d’une vue extérieure car le parc ferme très tôt ses portes.
La chaleur est bien présente et il est plus qu’agréable de pouvoir acheter des boissons fraîches à de petits vendeurs de rue assis près de leurs bacs de glaçons sous lesquels se cachent les bouteilles dont celle de lait de soja, yum !
Après s’être retrouvés plusieurs fois nez à nez avec des autels à la gloire du roi Bhumidol Adulyadej – il y en a partout dans la ville – nous arrivons au temple de marbre, le Wat Benchamabophit.
Trois couleurs dominent le paysage : le blanc du marbre des murs, le rouge des toitures et les dorures des éléments décoratifs. Le temple possède également 53 bouddhas de bronze.
Derrière, nous sommes surpris d’apercevoir les résidences des bonzes, certains sont d’ailleurs en train d’étendre leurs tuniques oranges fraîchement lavées sur un fil tandis que d’autres font une petite partie de football…
La nuit tombe rapidement et au détour d’une rue, sans le vouloir ni le comprendre, nous nous retrouvons au cœur d’une manifestation des «chemises jaunes » devant le siège du gouvernement thaïlandais. Il s’agit plus d’une occupation que d’une manifestation avec une scène sur laquelle se succèdent des discours politiques, des distributions gratuites de repas, des tentes pour dormir, toilettes/douches…
Nous préférons nous éloigner car même si l’ambiance est bonne enfant, soldats armés et barbelés devant le gouvernement nous refroidissent.
La faim se fait sentir et quoi de mieux qu’un pad thaï (nouilles sautées) pour commencer notre voyage côté culinaire. Nous nous rendons dans le bouiboui réputé comme le meilleur restaurant de pad thai de Bangkok : le Thip Samai. Nous prenons place dans une salle aux murs jaunis par la crasse, sur le trottoir les flammes jaillissent sous les woks qui crépitent, le spectacle ouvre l’appétit et quelques minutes plus tard, l’assiette est servie. C’est un bon pad thaï mais on peut faire mieux ! Niveau prix : comptez 40 baths pour un plat et une boisson soit 0,90 centimes.
Nous rentrons tranquillement à pied jusqu’à l’hôtel, faisons un petit arrêt sur un stand pour acheter quelques brochettes de viande à la sauce épicée puis prenons une dernière boisson dont un shake à la pastèque délicieux (shake= fruits + glaçons + sucre mixés) près de la piscine de l'hôtel avant d'aller rejoindre Morphée.
La suite au prochain épisode…
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