Décidément, ce n’est pas de sitôt que nous allons faire une grasse matinée. Ce matin, nous nous rendons à la gare routière de Pudu Sentral pour prendre un bus pour les Cameron Highlands.
Après un trajet chaotique sous la pluie pour rejoindre Puduraya, nous attendons dans la salle d’attente jusqu’au moment où tous les passagers du bus sont conviés à descendre sur le quai… Finalement, le bus arrivera avec 30 minutes de retard…
Cameron Highlands est une station d’altitude, prisée par les britanniques pendant l’époque coloniale pour ses collines verdoyantes, ses températures fraiches, ses plantations de thé et sa forêt tropicale.
Qui dit altitude, dit route de montagne donc route sinueuse… ce qui ne semble pas être le problème de notre chauffeur ! La durée moyenne du trajet est de 4h30 et pourtant nous l’avons fait en 3h30 avec un chauffeur qui ne connaissait pas l’utilité du frein mais par contre savait par cœur les paroles de sa compilation de Boney M !
Arrivés à Tanah Rata, la ville principale des Cameron Highlands, nous sympathisons avec une autre touriste et partageons un taxi pour aller à notre hôtel : le Gerard’s Place.
Nous sommes accueillis par la gérante, Jay, plus gentille tu meurs ! Pendant notre séjour, elle a toujours été à l’écoute de nos besoins, prête à aider comme elle le pouvait. Et puis la chambre était très confortable sans compter le coin pc, le petit salon et la cuisine en accès libre.
Après nous être installés, nous marchons jusqu’au centre-ville de Tanah Rata qui se résume à une grande rue bordée de restaurants et de boutiques (très pratiques pour acheter des petits ponchos).
Nous retrouvons la touriste rencontrée plus tôt et déjeunons dans un restaurant indien- miam un dosaï (ici orthographié thosai), une galette typique du sud de l’Inde, garnie de pommes de terre, d’oignons et d’épices (bien sûr d’autres variantes existent).
Nous décidons de profiter de la nature environnante en faisant le sentier le plus facile (le n°4) qui mène à la cascade de Parit. C’est à ce moment-là que nous avons compris ce qu’était une pluie tropicale : intense !
Nous avons marché pendant une heure sous une pluie torrentielle, grâce aux ponchos, nous avons limité les dégâts. Finalement, la cascade de Parit se révèle être, à cause de la pluie, une chute d’eau boueuse…
Heureusement, la fin du chemin donne sur l’une des spécialités du coin : les fermes de fraises. Nous sommes chaleureusement accueillis dans une de ces strawberry farms où nous en profitons pour nous sécher un peu.
Et puis bon, vu que nous sommes là, autant goûter ! Gourmands, nous prenons des fraises recouvertes de chocolat avec une boule de glace à la vanille… Un pur délice !
Certes, il n’y a pas grand-chose à voir dans une production de fraises mais l’endroit est paisible et l’on peut même s’amuser à la cueillette.
Nous terminons notre promenade et rentrons à l’hôtel, transis de froid, à la recherche de notre programme du lendemain. Après un peu de repos et une bonne douche chaude, nous sortons dîner en ville…
La ville de Tanah Rata ne manque pas de petits restaurants, d’ailleurs il y a même un Starbucks ! On y trouve aussi bien de la cuisine indienne, malaise ou encore thaïlandaise (notamment la tom yam, soupe à la citronnelle et au galangal, en moins épicée).
Cameron Highlands est une station d’altitude, prisée par les britanniques pendant l’époque coloniale pour ses collines verdoyantes, ses températures fraiches, ses plantations de thé et sa forêt tropicale.
Qui dit altitude, dit route de montagne donc route sinueuse… ce qui ne semble pas être le problème de notre chauffeur ! La durée moyenne du trajet est de 4h30 et pourtant nous l’avons fait en 3h30 avec un chauffeur qui ne connaissait pas l’utilité du frein mais par contre savait par cœur les paroles de sa compilation de Boney M !
Arrivés à Tanah Rata, la ville principale des Cameron Highlands, nous sympathisons avec une autre touriste et partageons un taxi pour aller à notre hôtel : le Gerard’s Place.
Nous sommes accueillis par la gérante, Jay, plus gentille tu meurs ! Pendant notre séjour, elle a toujours été à l’écoute de nos besoins, prête à aider comme elle le pouvait. Et puis la chambre était très confortable sans compter le coin pc, le petit salon et la cuisine en accès libre.
Après nous être installés, nous marchons jusqu’au centre-ville de Tanah Rata qui se résume à une grande rue bordée de restaurants et de boutiques (très pratiques pour acheter des petits ponchos).
Nous retrouvons la touriste rencontrée plus tôt et déjeunons dans un restaurant indien- miam un dosaï (ici orthographié thosai), une galette typique du sud de l’Inde, garnie de pommes de terre, d’oignons et d’épices (bien sûr d’autres variantes existent).
Nous décidons de profiter de la nature environnante en faisant le sentier le plus facile (le n°4) qui mène à la cascade de Parit. C’est à ce moment-là que nous avons compris ce qu’était une pluie tropicale : intense !
Nous avons marché pendant une heure sous une pluie torrentielle, grâce aux ponchos, nous avons limité les dégâts. Finalement, la cascade de Parit se révèle être, à cause de la pluie, une chute d’eau boueuse…
Heureusement, la fin du chemin donne sur l’une des spécialités du coin : les fermes de fraises. Nous sommes chaleureusement accueillis dans une de ces strawberry farms où nous en profitons pour nous sécher un peu.
Et puis bon, vu que nous sommes là, autant goûter ! Gourmands, nous prenons des fraises recouvertes de chocolat avec une boule de glace à la vanille… Un pur délice !
Certes, il n’y a pas grand-chose à voir dans une production de fraises mais l’endroit est paisible et l’on peut même s’amuser à la cueillette.
Nous terminons notre promenade et rentrons à l’hôtel, transis de froid, à la recherche de notre programme du lendemain. Après un peu de repos et une bonne douche chaude, nous sortons dîner en ville…
La ville de Tanah Rata ne manque pas de petits restaurants, d’ailleurs il y a même un Starbucks ! On y trouve aussi bien de la cuisine indienne, malaise ou encore thaïlandaise (notamment la tom yam, soupe à la citronnelle et au galangal, en moins épicée).
0 petit(s) mot(s) - Laisser un commentaire:
Enregistrer un commentaire