Après la visite du temple Sri Mahamariamman, de la Mosquée Nationale et une promenadeaux Lake Gardens, nous allons enfin visiter le monument le plus connu
de Kuala Lumpur : les tours Petronas.
D’ailleurs, nous nous sommes levés tôt ce matin-là pour aller chercher des billets. Contrairement à ce qui est écrit dans les guides (spéciale dédicace au Routard et au Lonely Planet Malaisie remplis d’erreurs car non mis à jour depuis trois ans), les billets pour visiter les tours Petronas ne sont plus gratuits ! Lors de notre passage, le billet adulte était à 80 ringgits soit 20 euros.
Chaque jour, un nombre limité de billets est mis en vente, il n’y en a donc pas pour tout le monde. Les comptoirs ouvrant à 8h30, il faut venir faire la queue en avance pour être sûr d’en avoir.
De plus, les billets sont valables pour un horaire bien précis, plus vous venez en avance plus vous aurez le choix de l’heure de votre visite. Le planning de la journée est à peu près découpé en sessions de 15 minutes (de 9h à 19h) qui peuvent chacune accueillir 20 visiteurs.
En arrivant vers 8h, il y avait déjà foule, heureusement nous avons réussi à obtenir nos précieux billets pour la visite de 17h15…
La visite des tours Petronas commence ! Nous prenons l’ascenseur direction le 41/42ème étage, le niveau du skybridge, cette passerelle en acier qui relie les deux tours.
A partir de ce pont, située à 170 mètres du sol, la vue n’est pas particulièrement extraordinaire…
Par contre, savoir qu’il y a le vide en-dessous est une sensation très étrange.
Sans compter, que toutes les parois sont vitrées, donc transparentes, donc vertige…
Cela ne m’a pas empêché de profiter la vue, d’autant plus que l’on ne peut rester que 15 minutes maximum au skybridge.
Nous reprenons ensuite l’ascenseur pour le 86ème étage où se trouve l’observation deck.
Cette fois-ci, nous sommes à 360 mètres de la terre ferme et le panorama est beaucoup plus époustouflant.
La vue est d’autant plus appréciable que, comparé au skybridge, la salle d’observation nous permet une vision à 360 degrés de Kuala Lumpur.
Et puis, se retrouver en face de la tour jumelle avec la Menara tower en fond, c’est quand même sympa…
D’ailleurs, saviez-vous que les deux tours n’ont pas été construites par la même société ?
Pour terminer la construction plus vite et faire jouer la concurrence, ce n’est pas une mais deux entreprises qui se sont affrontés pour achever chacune sa tour en premier !
Pour information, pendant six ans (de 1998 à 2004), les tours Petronas et ses 452 mètres étaient à la première place du classement des immeubles les plus hauts au monde avant de se faire détrôner par la tour Taipei 101 (Taïwan)...
Une vingtaine de minutes plus tard, nous sommes obligés de quitter les lieux pour laisser la place aux visiteurs suivants. 86 étages plus bas, la visite se termine évidemment à la boutique, kitchissime à souhait.
La nuit commence doucement à tomber, l’heure idéale pour aller boire un verre, mais pas n’importe où ! Pour continuer sur notre lancée « Petronas », nous allons boire un verre au skybar du Traders Hotel. Au 33ème étage, ce bar possède sûrement la vue la plus enviée de Kuala Lumpur : les tours Petronas bien sûr !
La plupart des tables sont déjà réservées mais nous arrivons à en dégoter une juste à côté de la baie vitrée ! De plus, malgré des prix un peu prohibitifs pour la Malaisie, l’happy hour du sky bar nous permet de nous délecter d’une bonne bière fraîche…
Et puis voir le soleil se coucher sur les tours Petronas, ça n’a pas de prix, si ?
En quittant le Traders Hotel, nous sommes encore plus éblouis par les Petronas qui brillent de mille feux.
D’ailleurs, nous nous sommes levés tôt ce matin-là pour aller chercher des billets. Contrairement à ce qui est écrit dans les guides (spéciale dédicace au Routard et au Lonely Planet Malaisie remplis d’erreurs car non mis à jour depuis trois ans), les billets pour visiter les tours Petronas ne sont plus gratuits ! Lors de notre passage, le billet adulte était à 80 ringgits soit 20 euros.
Chaque jour, un nombre limité de billets est mis en vente, il n’y en a donc pas pour tout le monde. Les comptoirs ouvrant à 8h30, il faut venir faire la queue en avance pour être sûr d’en avoir.
De plus, les billets sont valables pour un horaire bien précis, plus vous venez en avance plus vous aurez le choix de l’heure de votre visite. Le planning de la journée est à peu près découpé en sessions de 15 minutes (de 9h à 19h) qui peuvent chacune accueillir 20 visiteurs.
En arrivant vers 8h, il y avait déjà foule, heureusement nous avons réussi à obtenir nos précieux billets pour la visite de 17h15…
La visite des tours Petronas commence ! Nous prenons l’ascenseur direction le 41/42ème étage, le niveau du skybridge, cette passerelle en acier qui relie les deux tours.
A partir de ce pont, située à 170 mètres du sol, la vue n’est pas particulièrement extraordinaire…
Par contre, savoir qu’il y a le vide en-dessous est une sensation très étrange.
Sans compter, que toutes les parois sont vitrées, donc transparentes, donc vertige…
Cela ne m’a pas empêché de profiter la vue, d’autant plus que l’on ne peut rester que 15 minutes maximum au skybridge.
Nous reprenons ensuite l’ascenseur pour le 86ème étage où se trouve l’observation deck.
Cette fois-ci, nous sommes à 360 mètres de la terre ferme et le panorama est beaucoup plus époustouflant.
La vue est d’autant plus appréciable que, comparé au skybridge, la salle d’observation nous permet une vision à 360 degrés de Kuala Lumpur.
Et puis, se retrouver en face de la tour jumelle avec la Menara tower en fond, c’est quand même sympa…
D’ailleurs, saviez-vous que les deux tours n’ont pas été construites par la même société ?
Pour terminer la construction plus vite et faire jouer la concurrence, ce n’est pas une mais deux entreprises qui se sont affrontés pour achever chacune sa tour en premier !
Pour information, pendant six ans (de 1998 à 2004), les tours Petronas et ses 452 mètres étaient à la première place du classement des immeubles les plus hauts au monde avant de se faire détrôner par la tour Taipei 101 (Taïwan)...
Une vingtaine de minutes plus tard, nous sommes obligés de quitter les lieux pour laisser la place aux visiteurs suivants. 86 étages plus bas, la visite se termine évidemment à la boutique, kitchissime à souhait.
La nuit commence doucement à tomber, l’heure idéale pour aller boire un verre, mais pas n’importe où ! Pour continuer sur notre lancée « Petronas », nous allons boire un verre au skybar du Traders Hotel. Au 33ème étage, ce bar possède sûrement la vue la plus enviée de Kuala Lumpur : les tours Petronas bien sûr !
La plupart des tables sont déjà réservées mais nous arrivons à en dégoter une juste à côté de la baie vitrée ! De plus, malgré des prix un peu prohibitifs pour la Malaisie, l’happy hour du sky bar nous permet de nous délecter d’une bonne bière fraîche…
Et puis voir le soleil se coucher sur les tours Petronas, ça n’a pas de prix, si ?
En quittant le Traders Hotel, nous sommes encore plus éblouis par les Petronas qui brillent de mille feux.
Un peu déçu par Little India (mis à part le marché de nuit),
nous allons dans le quartier de Brickfields. C’est dans ce
quartier que s’est établi la communauté sri-lankaise de Kuala Lumpur à laquelle
est venu s’ajouter celle des indiens…
Ici encore les sons, les effluves et les couleurs chatoyantes charment nos sens mais avec un soupçon d’authenticité qui fait la différence.
Ici encore les sons, les effluves et les couleurs chatoyantes charment nos sens mais avec un soupçon d’authenticité qui fait la différence.
Nos estomacs, eux non plus, ne veulent pas se priver des
douces odeurs qui émanent des restaurants. Nous optons donc pour l’Anjappar
où nous faisons un repas de roi (pour quelques ringgits) afin de fêter le début
de nos vacances et notre départ pour la deuxième étape de notre voyage :
les Cameron Highlands.
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